Il y a quelque jours, Saishin avait rencontré un jeune homme qui lui avait semblé très simpatique, mais elle ne mit pas longtemps à se rencontre compte que ce n'était qu'une chimère. Ca n'avait été qu'un pervers, un égocentrique. Un homme comme plein d'autres. Cette erreure de jugement énervé énormément la rosée. De plus, elle avait fait le mur pour ne pas rencontré une femme qui allait voir son père et évidemment, lorsqu'elle était revenue son père avait remarqué son départ. Il n'avait pas tardé à la consigner dans sa chambre pour au minimum deux semaines. * Il doit être content de ne plus m'avoir dans les pattes * pensa-t-elle, acide.
Ce ne fut que lorsque ces deux semaines furent passées qu'elle put aller se détendre en se promenant. Elle était passée par les magasins pour se changer les idées, mais ça ne marchait pas bien. Elle avait seulement envie de tout jeter par terre, de tout déchirer, d'y mettre le feu. Saishin serra une robe entre ses mains et la regarda sans vraiment la voir, perdue dans ses pensées. Elle était rancunière, mais ça lui passait toujours, il fallait toujours attendre un peu, voir beaucoup selon les circonstances et la cause de son énervement.
Un voix la sortie de ses pensées. Saishin regarda la robe, leva les yeux vers la nouvelle venue avant de reporter à nouveau son regard vers le vêtement. Elle répéta ce petit manège plusieurs fois avant de prendre enfin la parole.
" C'est sûr, moi je l'aime bien, mais j'en ai déjà plein. Elle sourit et continua à parler, de la malice pétillant dans ses yeux. mais si tu veux je te l'achète ! "
A ce moment, alors que la jeune fille regardait l'autre personne, elle lui remarqua des oreilles et une queue. Saishin ouvrit les yeux en grand, des étoile brillant dedans. Elle attrapa les mains de la Nékos et parla d'un ton précipité avec un grand sourire.
" Ouah ! Tu es une Neko ? Géniale ! J'aimerai avoir une Neko, ils sont génials après tout, tu ne trouve pas ? J'aime bien les chats déjà alors... Maintenant j'ai encore plus envie de t'acheter cette robe ! " Elle nese rendait pas compte de ses paroles un peu maladroites. Si on les interprétait mal, on pourrait croire qu'elle les considère comme des objets... Ce qui n'était pas complètement folle mais pour la rosée, même les humains devaient lui obéir alors...
Saishin la tira par une main, emportant la robe au passage et, sans rien demander à l'autre jeune fille, elle paya la caissière et enfourna la robe dans les mains de la Neko.
" Au fait, comment tu t'appelles ? "