Balade [PV:Misa]

La maison de Misa ne se trouvait pas très loin de la plage, ca avait été l’un de ses caprices d’ailleurs. Ils prirent un sentier mais ils ne marchaient pas vite a cause de Misa. Arriver a la plage, le paysage était magnifique. La mer était bleu, le ciel était bleu avec des taches blanches, la sable jaune oranger et il n’y avait pas de vent. Dans l’aire Misa sentait une odeur mariner et elle aimait beaucoup cela. Maïko s’allongea sur le sable. La jeune fille avait peur de salir ses vêtements si elle fessait pareille et sa gouvernante n’aurais pas du tout aimé. A la place elle aimait a laisser ses yeux vagabonder sur se lieux magique. Son cœur était léger et elle avait l’impression d’être une enfant ordinaire. Puis Maïko brisa se silence gentiment.

-Désoler pour ce baiser avant le court de piano.

Misa tourna son visage vers lui, surprise qu’il parle de cela. Pour elle sa n’avait qu’une marque d’affection normale. Mais pour lui, sa devait signifier plus peut-être. Soudain le cœur de la jeune fille se fit plus lourd et elle sentit ses joues redevenir rouge comme quand il l’avait embrassé gentiment. Elle détourna son visage de Maïko pour pas qu’il remarque ses rougeurs idiotes. Mais soudain, la jeune fille ne souriait plus.

** Il regrette de m’avoir donné un petit baiser. Pourtant moi je l’ai bien aimé. Ca fessait longtemps que personne ne m’avait montré un peu d’amour. Mes parents ne sont jamais là et ce n’est pas ma gouvernante qui va me donner de l’amour… Mais pourquoi je suis si triste… Pourquoi je commence à pleurer moi maintenant… **

Des larmes commençait effectivement à glisser le long des joues rouges de Misa. Mais le pire c’était le pincement que sa tristesse lui fessait au cœur et qui le rendait douloureux. La jeune fille posa sa main instinctivement sur son cœur qui la fessait souffrir maintenant. Elle ne voulait pas montrer sa peine a son néko alors elle commença à marcher la long de la plage d’un pas nonchalant, toujours en cachant son visage a Maïko.

Misa avait commencé à partir marcher pour calmer ses pleures enfantines mais son néko la rattrapa et la prit dans ses bras. La jeune demoiselle ne protesta pas et se laissa étreindre. Maïko ne savait plus vraiment comment réagir, ni quoi dire maintenant. C’est alors qu’il proposa à sa maitresse qu’elle ne lui redonne un baiser ou qu’elle lui brise le cœur. Cette fois, c’était elle qui était perdu. Elle sentait seulement sa douleur dans sa poitrine, ses larmes coulées de ses yeux et sa respiration se faire plus dure dans ses sanglots. Maïko se mit alors à genoux, bien en face d’elle et il ajouta gentiment.

-J'ai aimais vous faire ce baiser mais j'avais peur que quelqu'un vous apporte de l'amour avant moi et dans ce cas la je n'aurais pas était gentil.

Les larmes de Misa s’arrêtèrent un peu et elle tacha de respirer calmement. Elle ne savait pas quoi faire maintenant elle ne savait plus se dont elle avait envie. Tous étaient brouillés dans sa tête d’enfant. Mais ce qu’elle réalisa à ce moment c’était qu’il était là, devant elle à genoux, à faire ses quatre volontés, à lui donner son cœur… Misa planta ses yeux dans les prunelles de Maïko puis dans un sanglot, elle s’accrocha a con coup. Toute la peine et la douleur de la jeune fille sortit alors et ses larmes redoublèrent. Elle fessait un câlin à son néko qui était là pour elle, qui l’aimait. Elle dit alors entre deux vagues de pleur.

-Je ne veux plus être seul… Je veux être aimé… Je veux qu’on s’occupe de moi…

Elle cacha alors son visage dans le coup de Maïko et attendit d’arrêter de pleurer.