Enfin arrivée chez nous! [PV: Maïko][Terminer]

Misa était sage dans la voiture et elle ne disait rien. Elle était un peu fatiguer voulait aller se reposer une fois arriver a la maison. Quand la voiture entra dans la cours, ils pouvaient apercevoir le manoir Kando. C’était une grosse maison ancienne et très bien restaurer. La voiture se gara devant la porte et ils sortirent de l’habitacle. Le major d’homme ouvrit la porte a Misa qui avait toujours la laisse de Maïko dans les mains. Il la salua et elle hocha la tête poliment. Misa retira la laisse de Maïko mais laissa le collier.

-Bienvenue dans t’as nouvelle maison mon petit néko !

Elle avait un sourire et le manoir était grand avec de grande pièce. Il y avait aussi des domestiques et c’était la gouvernante qui les gérait en l’absence des parents de Miss Kando. Il y avait plusieurs étages et la chambre de Misa se trouvait au troisième. La jeune fille poussa un bâillement, ce que la gouvernante remarqua.

-Vous devriez allez vous reposer un moment dans votre chambre mademoiselle. Le médecin, ce matin vous avait dit de ne pas vous fatiguer.

Misa hocha de la tête, son sourire c’était envoler et elle regarda son nouveau néko.

-Tu veux venir te reposer avec moi ?

La jeune demoiselle craignait la solitude et elle aurait bien aimé avec Maïko à coter d’elle. Elle avait un lit deux places et il pouvait très bien tenir tout les deux le temps d’une sieste. Mais Misa vit très bien le mauvais regard que lui lança sa gouvernante. Misa savait parfaite a ce que la nurse pensait mais Maïko était là juste pour elle.

Maïko sortit de la voiture il n'avait pas vu de pareil maison il sentit la douce main de sa maîtresse se poser sur son cou et lui retirer la laisse , il aimait cette endroit puis après quelques secondes misa lui demanda si il voulait l'accompagner dans sa chambre , avant qu'il n'ai pu donner sa réponse la gouvernante lança un regard au neko qui disait si jamais tu va la bas que je ne te croise pas au milieu de mon chemin maïko était d'accord il était plus grand que elle mais ce n'était pas dit qu'avec le peu de nourriture qu'il est manger à l'animalerie qu'il pourrait résister à elle , il fut effrayer un peu puis répondit à sa maîtresse en prenant son courage à deux mains :

- Bien sûr Maîtresse ce serait un plaisir de vous accompagner

Il regarda discrètement la gouvernante décidément il se l'était mis à dos mais ce qui l'importait c'était d'aller avec sa Maîtresse se reposer sur une moquette ou un tapis sa n'avait pas beaucoup d'importance ce serait toujours plus confortable que l'acier il regarda sa maîtresse et approcha sa bouche de son oreille pour lui chuchoter :

- Voulez vous que je vous porte ?

Misa attendait la réponse de Maïko avant de monter dans sa chambre. Il réfléchissait un instant avant d’accepter la proposition de sa nouvelle maitresse. Elle fit encore un hochement de tête et vu très bien le regard de sa gouvernante vers son néko. Elle ne dit rien pour le moment car elle était fatiguer mais si elle s’avisait de toucher a un cheveu de Maïko elle allait lui rentrer dedans. Puis le néko se pencha en avant et chuchota à sa maitresse.

-Voulez vous que je vous porte ?

Misa fit des yeux tous rond puis après mure réflexion accepta son offre. Elle n’aimait pas passer pour une infirme mais Maïko était là pour lui soulager un peu l’existence. Quand Maïko la prit dans ses bras fort, la gouvernante retient en petit crie étouffer par un regard mauvais de Misa. La jeune fille était épuiser et elle déposa sa tête contre le torse de son néko pendant qu’il montait les escaliers qui menait au troisième étages. Arriver devant le couloir, Misa lui indiqua la porte centrale. Quand ils passèrent cette porte on pouvait voir le beau lit baldaquin en bois avec des draps blanc, une coiffeuse et une autre porte qui donnait sur la salle de bain. Bien sur il y avait un bureau et d’autre meuble encore… Misa demanda a Maïko de la déposer sur le lit. Il le fit et elle tapota a coter d’elle pour qu’il s’allonge lui aussi. Mais la gouvernante était sur le pas de la porte et dit alors.

-Mademoiselle il serait plus judicieux de lui faire prendre un bain avant. Il vient de l’animalerie, il doit avoir des puces et il ne faudrait pas en mettre dans votre lit ce serait désastreux.

La gouvernante devait avoir raison d’un coter. Misa hocha la tête pour confirmer son approbation. Maïko devait prendre un bain avant de venir se reposer près d’elle. Misa lui indiqua la salle de bain mais la gouvernante dit alors.

-Il ne devrait pas prendre votre salle de bain personnel dans les chambres d’amis, il y en a d’autre. Et de toute façon il ne dormira pas avec vous.

Misa soupira de découragement, elle était trop crever maintenant pour contredire sa gouvernante. Ses paupières commençaient à ce fermé toute seule.

Misa c'était endormi , la gouvernante ne lâcher pas le morceau , le neko décida alors d'aller dans la chambre d'ami au premier étage.

Sous les ordre de la gouvernante il entra dans la chambre elle était luxueuse il n'en avait jamais vu de pareille avant celle de misa il se dirigea vers la salle de bain et fit couler l'eau.

Il enleva la toge et alla prendre une douche si il avait bien compris les paroles de sa maîtresse elle voulait qu'il soit propre il frotta alors et nettoya ses oreilles en insistant si bien qu'il en avait presque mal il prit du savon et commença à se laver il se fit un shampoing et s'allongea dans le bain au bout de dix minutes il se leva pris une serviette se sécha et appela la gouvernante , bien qu'elle ne l'aimait pas elle lui emmena une chemise avec un pantalon.

Il se dirigea vers son lit et lorsque vint l'heure de se coucher il n'y arriva pas, il pensa toute la nuit est-ce que la gouvernante ne va pas me jeter dehors pendant mon sommeil ou pire me ramener dans l'animalerie, il repensa aux paroles de misa elle disait que si elle toucher a un cheveux de son neko elle se fâcherai mais si réelement elle le ramener à l'animalerie il suffirait qu'elle paye le vendeur et qu'elle mette le neko dans une cage à part.

Il finit par avoir peur de ses propres pensées et décida d'aller dormir juste à côté de la porte de la chambre de misa , même si maïko ne connaissait pas encore misa très bien elle lui manquer il s'endormit alors contre la porte de la chambre de sa maîtresse , il était bien sur le tapis qui se trouvait devant la chambre de sa maîtresse , une image apparu dans sa tête ce dont il avait penser se transformer en cauchemar , au beau milieu de la nuit vers deux heure du matin il sursauta et essaya de penser a sa maîtresse, sa jeune maîtresse si douce.

Il se rendormi avec cette fois l'idée de sa maîtresse en tête , cette fois il rêva de sa maîtresse ...

Misa s’était endormit comme une masse le soir. Elle n’avait même pas sentit le sommeil l’emporter sur sa raison. Mais cette nuit là, elle ne fit pas de rêve, comme toutes les autres nuits d’ailleurs. Dormir pour elle, servait juste à se reposer. Et quand elle se réveilla le matin, la jeune fille se sentit très en forme. Comme d’habitude, les rayons du soleil qui passait à travers sa fenêtre l’avaient réveillé en douceur. Il devait être 7 heur du matin et Misa se leva de son lit. Elle passa dans la salle de bain puis s’habilla avec ses vêtements classiques. Elle mit une jupe noire d’écolière, une chemise blanche, des collants noirs, ses ballerines vernie noir aussi et un veston pourpre assortit a ses cheveux. Puis elle s’installa à sa coiffeuse et coiffa ses longs cheveux en un chignon lâche. Elle se maquilla un minimum, se qui restait très discret. Puis elle sortit de sa chambre pour aller prendre son petit déjeuner. Quand elle ouvrit sa porte, elle trouva allonger par terre sur un tapie son néko. Il dormait encore et Misa réalisa qu’il avait du passer toute la nuit ici dans le froid. Elle se baissa doucement en fessant attention a ne pas froisser ses vêtements et elle posa une main sur la joue de Maïko. Puis dans un murmure elle le réveilla doucement.

-Il est l’heur de se réveiller mon chaton. On va aller prendre un petit déjeuner.

Le néko ouvrit doucement les yeux et Misa lui fit un sourire avant de se relever. Elle s’en voulait un peu de l’avoir laissé ici toute la nuit mais elle n’avait rien remarqué en dormant. Elle vit qu’il avait toujours son collier autour du coup et cela l’attrista un peu. Il se leva et ils se dirigèrent au deuxième étages ou ce trouvait la salle à manger.

Sa maîtresse le réveilla d'habitude il n'aimait pas sa mais la jeune fille l'avait fait avec une douceur qu'il n'avait jamais connu il se leva doucement et allèrent vers la salle à manger pendant qu'il descendait les escaliers il dit a sa maîtresse :

-Maîtresse ne vous fatiguer pas à me protéger de la gouvernante se serait dommage et surtout mauvais pour vous je préfère manger au premier étage dans une gamelle que de vous voir souffrir .

Ils descendirent les escaliers et comme d'habitude la gouvernante attendez la jeune Misa , elle n'attendez que Misa non un neko selon elle répugnant salle et avec un mauvais caractère , et donc comme l'avait dit le neko elle lui avait ordonner d'aller manger en bas , il ne l'aimait pas mais commença a descendre une marche puis deux et il s'arrêta , il répondit juste à la gouvernante :

-Je vous pris de m'excuser je n'ai pas faim , je vais attendre ma maîtresse ici si sa ne gêne personne .

La gouvernante prit un air histoire de dire sa me gêne tu ne te rend même pas compte bien sûr le neko faisait attention que sa jeune maîtresse ne soit pas trop embêter ...

Quand ils descendirent les escaliers Maïko s’adressa à sa maitresse. Cette dernière fut surprise par les paroles de son néko. Elle se demanda se qui c’était passer hier soir entre la gouvernante et lui pendant qu’elle dormait. Elle avait surement dut lui faire la leçon et donner les règles de cette maison. Mais la nurse ne semblait pas comprendre que c’était Misa qui fixait les règles de Maïko. Enfin bref, la jeune fille ne dit rien pour le moment et quand ils arrivèrent dans la salle à manger elle s’installa à la table. Une domestique lui apporta son plateau et Misa voyait son néko qui allait descendre au première étages manger sa gamelle. Puis il fit demi tour et s’adressa a la gouvernante plutôt cas sa maitresse.

-Je vous pris de m'excuser je n'ai pas faim, je vais attendre ma maîtresse ici si sa ne gêne personne.

Le néko se mit dans un coin de la pièce et cela dérangeait fortement la gouvernante. Misa en avait assez de cette situation, alors elle appela la nurse près d’elle de sa voix enfantine et douce. Cette dernière s’approcha toujours avec son air froid, dur et méprisable.

-Madame vous allez descendre en bas et me rapporter la gamelle de Maïko ici. Il va manger avec moi et je vous pris de vous rappeler a l’avenir qu’il n’y a que moi dans cette maison qui peux lui donner des ordres. De nouvelles règles vous seront transcrites. Et souvenez vous également qu’il ne me suffit que d’un coup de file a mes parents pour vous faire renvoyer.

De sa voix cristalline Misa s’avait très bien se faire obéir. Elle avait parlé sans élever le son de la voix et avec un regard froid comme l’hiver. Puis la gouvernante se retourna et descendit les escaliers pour exécuter les ordres de Misa. La nurse n’avait rien protesté. Elle avait besoin de se travail. Misa fit un sourire gentil a son néko et le demanda de venir s’assoir en face d’elle. Misa allait s’attaquer maintenant a son petit déjeuner qui n’avait pas l’aire très bon. Elle avait un régime assez strict et sur son plateau se trouvait un œuf à la coque sans sel avec du pain sans beurre et un thé sans sucre. La jeune fille fit une légère grimasse avant de commencer par son thé.

Misa regarda son néko venir s’assoira en face d’elle. Elle avait terminé son thé quand la gouvernante apporta la gamelle de Maïko qu’elle déposa devant lui. Il la regarda un instant sans la toucher. Puis il demanda à sa maitresse s’il pouvait manger sans couvert. Il se justifia en avouant qu’il ne s’en était jamais servi. Misa fut surprise mais elle souriait a cela. A coter d’elle, la gouvernante était désespérer. Puis Maïko passa sous la table se qui choqua quelque peux la jeune maitresse. Il vint près de son oreille et lui chuchota.

-Pourrai-je dormir avec vous ce soir ?

Puis il repassa sous la table et retourna s’assoir. Misa avait un sourire sur les lèvres et elle jeta un regard a la nurse. On pouvait très bien voire sur le visage de cette dernière qu’elle avait très envi de jeter Maïko dehors avec une bonne correction. Mais Misa répondit.

-Tu peux manger sans couvert et ce soir tu dormiras avec moi dans ma chambre. Surtout n’hésite pas a le dire après si tu as encore faim.

Elle lui refit un autre sourire et mangea ses œuf infecte et sans goût. Ce fut a cet instant quand elle avait presque fini que le médecin personnel de la jeune fille entra dans la salle. Il avait un sourire sous ses moustache comme toujours. Puis il dit d’un air enjouer.

-Mademoiselle sa va être l’heur de votre consultation matinale.

Misa poussa un soupire et reprit son visage sobre et sans émotion, presque triste. Tout les matins elle était examiner et c’était a ce moment là que le médecin voyait si elle pouvait sortir aujourd’hui. Elle termina ses œufs et se leva de table. Elle dit à Maïko.

-Termine tranquillement et attend moi là. Je reviens bientôt. Demande à manger au domestique si tu en veux encore.

Elle avait sa voix douce mais ses yeux étaient tristes. Elle suivit le médecin et la gouvernante dans les escaliers pour rejoindre la petite infirmerie de la maison qui se trouvait aux troisièmes étages a coter de sa chambre.

Maïko mangea alors a sa façon il avait le sourire aux lèvres mais pourquoi sa maîtresse avait l'air triste , le jeune neko ne le savait pas il s'écarta de la table et se leva , il alla dans le coin de la pièce ou se trouvait une bibliothèque et une chaise .

Il se dit peut être y avait-il un livre sur les bonne manières , il chercha et au dernier étage un livre "les bonnes manières" il se dit parfait il l'ouvrit donc et trouva un papier au début il cru que c'était un simple marque page intriguait tout de même il ouvrit le papier et découvrit que sa maîtresse avait une maladie qui l'empêchait certaine journée de sortir et qui l'empêcher de courir.

Il referma le papier et le mit dans sa poche , il s'intéressa au livre il voulait que sa maîtresse soit fier de lui , il lu des chapitres et des chapitres ne retenant que les bonne manière de base , il entendit les pas de la gouvernante descendre les escalier.

Il referma le livre tout de suite et le remis a sa place il demanda alors à la gouvernante ce qu'il se passait elle restait sans voix à ne rien dire telle une pierre il demanda si il avait le droit de monter , elle lui dit non pour une fois il avait envie de lui obéir et de ne pas monter avec ce qu'il savait sur sa maîtresse mais il ferais des effort pour quelle ne s'en rende pas compte ...

Misa suivit le médecin et la gouvernante dans la petite infirmerie. Dans cette pièce se trouvait un vrai cabinet de docteur avec tous les instruments. La jeune trop habituer ses examens quotidiens retira ses vêtements et se retrouva en sous vêtements au milieu de la pièce devant le médecin et la nurse. Le docteur la fit s’allonger sur la table d’examens et il écouta son cœur. Après il lui prit sa tension et lui posa deux trois questions de routine. Puis il la fit souffler de toutes ses forces dans une sorte de boitier en plastique. Et pour finir le docteur qui était gentil avec la jeune fille examina ses cicatrices à l’ endroit de son cœur. Elle avait subit de nombreuse opérations et ça lui avait laissé plein de marque sur sa poitrine. Misa se rhabilla et le médecin avec un sourire rendit son verdict.

-Tous a l’aire très bien aujourd’hui ! Si vous voulez mademoiselle vous pourrez sortir vous promenez mais je vous demande de ne pas trop vous fatiguer tout de même.

Misa lui fit un grand sourire quand elle boutonna ses derniers bouton. Hier sa tension avait été trop basse et elle n’avait pas put sortir, juste pour allez a l’animalerie. Misa remarqua que la gouvernante était repartit tout de suite après le verdict. Elle devait informer tous les matins les parents de Misa son état de santé. La jeune sortit également après de la salle d’examen et retourna dans la salle à manger pour y retrouver son néko. Quand elle entra elle le retrouva debout devant la pièce. Elle alla vers lui et lui prit la main et tira.

-Allez viens ! On va jouer dehors !

Mais la gouvernante vint intervenir froidement.

-Mademoiselle dois-je vous rappeler que vous avez vos leçon se matin. Vous avez langue et après piano. Vous ne pouvez pas sortit tout de suite, vous sortirez cette après-midi.

Misa ne pouvait malheureusement pas réfuter ses ordres là car il venait de ses parents. Elle poussa un soupire en lâchant la main de Maïko et sa joie disparut. La salle de classe ce trouvait au deuxième étages au fond du couloire et Misa s’y dirigea en fessant signe a son néko de venir avec elle. C’était sa gouvernante qui lui donnait les leçons et cette dernière ne voulait pas vraiment d’un néko dans sa classe mais elle ne pouvait pas faire autrement que d’accepter. C’était donc avec un visage triste que Misa se rendait en salle de cour en compagnie de Maïko.

Maïko faisait plus attention a elle qu'avant sa lui sembler logique vu qu'elle avait une maladie , ils se dirigèrent vers la salle de cours une fois arriver misa prit place a un bureau à deux place il se plaça vite à côté d'elle et lui sourit en la regardant dans les yeux , il se demandait comment une petite fille comme elle pouvait supporter tout sa elle lui rendit son sourire et tournèrent tout deux la tête vers la gouvernante qui commença son cour sans attendre elle entendit un bruit sûrement un oiseau mais tout les prétexte était bon pour m'éloigner de Misa elle prit donc ma laisse et m'attacha à la porte je ne pouvais rien faire d'autre que m'assoir et attendre .

Il continuer de se tourner vers sa maîtresse qui avait l'air triste ce qui rendait le neko triste lui aussi si seulement il pouvait faire quelque chose mais la seule chose qu'il pouvait faire c'est écouter le cours et si il y arriver aider sa maîtresse à aller mieux une fois les cours finis .

Le bruit recommença et comme si être à la porte ne suffisait pas la gouvernante décida de le mettre derrière la porte elle ne l'aimait décidément pas , pendant qu'il était dans le couloir il examinait tout les détails du couloir c'était sa seule occupation , il s'ennuyait beaucoup et fini par vouloir enlever sa laisse mais il repensait aux paroles qu'il avait dites et promises à sa maitresse il y renonça et s'assoie ...

Misa et Maïko étaient assit l’un à coter de l’autre. La jeune fille pensait qu’avec la présence de son néko près d’elle, elle allait moins s’ennuyer mais au bous de quelques minutes a peine, la gouvernante prit la laisse de Maïko et elle l’attache a la porte. Misa ne pouvait rien dire malheureusement. La nurse avait tous les droits en salle de cour. Miss Kando avait retrouvé son visage triste et sobre de toujours et elle jetait de discret coup d’œil à son néko parfois. Elle voyait bien qu’il n’était pas très heureux d’être là, enfermer dans une salle sordide à écouter la gouvernante apprendre l’espagnole a sa maitresse. Mais malheureusement, elle ne pouvait rien faire pour lui. Comme si sa suffisait pas, la nurse décida de sortir Maïko dehors dans le couloir. Misa serrait les dents pour ne pas protester mais une enfant n’a rien le droit de dire en cour. Elle essaya donc de se concentrer sur sa leçon attendant que l’heur se termine. Quand enfin ce fut terminer, la jeune fille sortit rapidement de la salle. Elle retrouva Maïko assit par terre, attacher. Elle lui retira sa laisse avec un sourire.

-C’est terminer. On peut aller un peu dans le jardin avant ma leçon de piano.

Un grand bol d’aire frais aurais fait du bien a la jeune demoiselle. Elle avait envi d’aller s’aérer la tête avant le piano. Maïko se releva et Misa attendait sa décision.

Misa et Maïko sortirent donc dehors jouer un instant avant le cours de piano. Ils s’amusaient à se jeter une petite balle en mousse. C’était assez simple mais Misa aimait que quelqu’un lui rende sa passe. La jeune fille se sentait bien. Ce n’était pas trop physique et sa lui convenait parfaitement. Puis soudain son néko lui demanda ce qu’elle avait comme maladie ? La jeune fille c’était bine douter qu’il lui poserait la question a un moment ou a un autre mais elle fut surprise quand même. Elle ne considérait pas ses problèmes de santé comme un sujet tabou. Comme elle ne répondit pas de suite le néko se baissa vers elle et s’excusa de sa curiosité. Misa, en voyant le visage triste de Maïko devint triste elle aussi. Puis il se redressa et alla s’assoir sur un banc pas loin. Elle lui suivait des yeux ne sachant pas vraiment quoi faire ni dire. Il l’invita à venir le rejoindre et Misa alla s’assoir près de lui. Elle posa ‘lune de ses petite mains sur celle de son néko et elle le regarda avec un sourire aux lèvres, avant de lui répondre de sa voix enfantine.

-Oui je suis malade. J’ai une mal formation cardiaque et une anomalie au poumon gauche. J’ai déjà fait deux crises cardiaques dans ma vie et j’ai subit de nombreuses opérations. J’ai également eut des traitements très lourd et j’ai faillit mourir plus d’une fois. Mais aujourd’hui je vais beaucoup mieux. Le médecin m’examine tout les matins sans exception. J’ai un traitement plus léger mais je me fatigue vite et suis plusse sujette aux maladies respiration que d’autre personne. Je ne dois pas faire d’effort physique au risque que mon cœur lâche, j’ai un régime alimentaire assez strict pour mes artères. Mais je vie ! Dans un corps faible et malade mais je suis en vie…

Misa avait presque tout dit sur ses problèmes de santé a son néko maintenant et elle ne voulait pas qu’il soit triste pour elle. Ce fut alors qu’elle vit son professeur particulier de piano entrer dans la maison. Elle lui fit un dernier sourire et sans lâcher la main de Maïko, ils entraient à l’intérieur. La salle de musique se trouvait au deuxième étages.

Misa avait entrainé Maïko avec elle en cour de musique. Les parents de Miss Kando voulaient absolument qu’elle joue d’un instrument et elle avait choisie le piano. Ce n’était pas le plus facile mais c’était se qui convenait le mieux pour elle. Elle était assise et n’avait pas besoin de souffler dans quelques choses. Quand ils se retrouvèrent sur le pas de la porte, Misa ne souriait plus, elle aurait préférer retourner jouer dehors mais bon… Son néko lui demanda si elle aimait les cours de piano et quand il vit sa tête, il se répondit tous seul. Puis sans qu’elle ne s’y attende, il lui donna un baiser sur la joue. Misa n’était pas vraiment habituer a se genre de marque d’affection et fut surprise et suivirent des rougissements insensé. Maïko alla s’assoir sur un banc pendant que Misa, toujours aussi rouge, alla s’assoir derrière le piano a queux. Son maitre de musique était à coter d’elle et il lui demanda de reprendre là ou il en était à leur dernière leçon. Misa apprenait un aire de Debussy en ce moment et les doigts fins de la jeune fille se mirent à parcourir les touches du piano. Elle jouait « Claire de lune » L’une de ses berceuse préférer. Pendant toute l’heur qui passa vite a son goût, le professeur ne reprit pas beaucoup Misa. Elle se dérouillait plutôt bien. Puis quand se fut terminer, que la dernier note cessa de raisonner dans la salle, la gouvernante entra et annonça que le déjeuner était servit. Misa se releva, salut poliment son maitre de musique et alla vers son néko.

-J’espère que tu as faim ?! Alors tu as aimé m’entendre jouer du piano ? Je ne suis pas encore très doué. On va manger ?!

La jeune fille avait un peu faim maintenant qu’il était l’heur et que la matinée était passée. Elle avait un sourire sur le visage car cette après-midi, elle pourrait aller se balader dans les environs avec son néko.

Maïko dit a Misa qu’elle jouait bien du piano. La jeune demoiselle eut un sourire encore plus étincelant alors. Puis soudain le néko prit sa maitresse et la posa sur ses épaules. Elle poussa un léger crie de surprise dans cette action. Il lui avait fait peur et elle ne se sentait pas à l’aise avec sa jupe. Arriver dans la salle à manger, la gouvernante s’emblait outrer de se comportement. Misa aller surement encore réservoir une leçon bientôt. Maïko la posa délicatement sur sa chaise et il fit le tour de la table et s’assit en face d’elle. Le néko s’emblait bien prendre ses marques dans la maison se qui fit plaisir a sa jeune maitresse. Les domestiques apportèrent les plats. A midi c’était poison vapeur avec des haricots vapeur aussi. Misa aimait pas les légumes mais elle se forçait toujours a tous manger. Puis son elle jeta des regards à son néko. Il était assez gaucher avec des couverts mais il s’en serait quand même. Misa se mit à rire alors et il était fière de lui. Il progressait aux moins. Quand ils eurent fini de manger tout les deux Misa se leva et alla prendre une veste dans sa chambre. Il ne fallait surtout pas qu’elle prenne froid. Elle annonça à sa gouvernante qu’elle allait se promener avec Maïko et qu’il n’allait pas loin. Arriver en bas, Misa enfila sa veste et ils sortirent dehors. Il ne fessait pas spécialement froid mais il valait mieux ne pas prendre de risque. C’est ainsi qu’ils sortirent de la propriété. Mis n’avait jamais été autant joyeuse.

Misa commençait à croire qu’elle avait trouvé un ami avec qui être mais la jeune fille se sentait mal d’être aussi égoïste. Sa douleur dans sa poitrine ne diminuait pas et elle avait toujours autant mal au cœur. Elle surveillait inconsciemment si elle n’allait pas faire une crise cardiaque. Puis Maïko lui chuchota de doux mot à l’oreille et se sentit apaiser. Malheureusement tout cela l’avait épuisé et Miss Kando ne tenait plus sur ses jambes. Maïko la porta alors jusqu'à la maison et la déposa dans sa chambre, sur son lit. Misa n’allait pas m’être longtemps avant de dormir complètement et elle sentit alors son néko qui allait sortir de sa chambre. Se fut alors dans un murmure qu’elle répondit.

-Reste un peu plus près de moi. Viens dormir avec moi… Je ne veux pas être seule ici… Viens t’allonger près de moi…

La jeune fille avait tendu la main, dans l’espoir de sentir des doigts se refermer sur les siens. Et elle sentit enfin se qu’elle attendait depuis longtemps. Maïko lui prit la main et s’allongea a coter d’elle. Elle avait un sourire maintenant et elle pouvait s’endormir tranquillement. Bien sur elle ne fit aucun rêve, assez étrange pour une enfant de 13 ans, mais bon, c’était comme ça. Quand elle rouvrit les yeux sa devait bien faire 1 heur qu’elle s’était endormis. L’après-midi était passé et ils n’avaient rien eut le temps de faire d’intéressant avec son néko. Elle se redressa et regarda son réveille matin. Il était 6 heurs du soir et elle avait loupé le goûter. Elle regarda après son néko qui dormait toujours a coter d’elle et elle lui fit un bisou sur la joue pour le réveiller gentiment.

Quand il se réveilla en douceur il reposa un baiser sur la joue de Misa. La jeune fille en était heureuse. Il avait mit plein de sable sur le lit et elle se dépêcha de secoure les couvertures. Le sable tomba sur son parquet mais elle n’aura qu’a demander aux femmes de chambres de faire le ménages avant se soir. Puis Maïko demanda se que nous allions faire maintenant. La jeune fille ne savait pas très bien, elle n’avait pas vraiment envie de bouger. Elle se réinstalla, assise en tailleur sur son lit. Ses yeux étaient un peu mouiller et Maïko lui sécha sa dernière larme. Il s’installa lui aussi sur le lit, en tailleur comme sa maitresse. Misa le regardait du plus profond de ses prunelles et elle ajouta sans vraiment sourire.

-Je suis désolé d’avoir pleuré comme un bébé. Sa ne m’arrive pas souvent généralement. J’étais juste triste quand tu as dit que tu regrettais de m’avoir donné un simple petit bisou sur la joue. Je me suis dit alors que tu devais souffrir tous les jours d’être près de moi si tu ne m’aimais pas, mais je me suis tromper pas vrai ?!? Sinon je serais prête a te redonner t’as liberté si tu ne voulais pas de moi comme maitresse…

Misa se tût, avec ses petits doigts fin elle tripotait sa jupe sur ses genoux. Elle avait le regard fuyant et calme, voire presque triste.

Misa avait le regard triste alors Maïko le prit pas les hanches et la posa sur l’une de ses jambes. La jeune fille posa sa tête contre le torse de son néko comme pour lui refaire un câlin. Puis le néko dit alors des paroles douces aux oreilles de sa maitresse. Il lui disait qu’il l’aimait. Misa avait le regard plonger dans celui de Maïko et elle le vit rougir en un plus à chaque fois qu’il parlait. Il disait aussi qu’il ne voulait pas de sa liberté qu’il voulait rester près d’elle tout le temps. Misa eut alors un sourire charmant. La jeune était réconforter et apaiser maintenant. Maïko détournait son regard di sienne désormais. Le pauvre il devait être trop gêné. Il était un peu plus rouge qu’avant ce qui le rendait encore plus mignon aux yeux de sa maitresse. C’est alors qu’elle décida enfin de lui retirer son collier. La jeune fille défit la boucle du collier en cuire et elle le jeta sur le banc en velours en dessous de la fenêtre.

-Maintenant je n’ai plus besoin de ça pour te retenir. Tu es à moi tout entier et rien qu’a moi. Je suis si heureuse. On va rester ensemble pour toujours, rien que tous les deux, sans personnes d’autre. Moi aussi je ne suis rien que t’as petite maitresse. Moi aussi je ne suis rien que pour toi…

Etrangement pour une enfant de 13 ans, elle s’avait parfaitement se qu’elle disait et elle le pensait très fors. Elle était beaucoup plus mature que les autres enfants de son âge. C’était sans doute a cause de tous se qu’elle avait vécu et subit.