Enfin arrivée chez nous! [PV: Maïko][Terminer]

Misa avait une étrange envie maintenant de mordre la vie a pleine dents. C'était d'ailleurs la raison pour laquel elle se trouvait dans cette position sur son néko. Masi elle n'en retirait aucune gêne bizarement. Maïko ne devait plus très bien a quoi s'en tenir car quand il caressa les fesses de Misa la jeune fille ne dit rien. Elle se contenta de sourire même. Elle aimait le faite de savoir qu'elle pouvait donner envie a son néko. Ils s'embrassèrent et il demanda si elle allait bien. La jeune fille laissa échapper un rire joyeux.

-Je vais très bien. Je me suis même jamais sentit aussi vivante que maintenant. J'ai envie de profiter de la vie Maïko. Et tu fais parit de ma vie donc dans un sens j'ai envie de profiter de toi. Enfin si sa te convient.

La jeune fille ne s'était jamais montrer aussi directe et sans gêne. Le faite qu'elle soit encore une fois passer très preès de la mort lui avait se rendre compte des choses qu'elle voulait accomplire avant de mourire. Elle s'avait parfaitement malheureusement qu'elle ne serait jamais une veille dame et qu'elle mourerait surement avant d'avoir des enfants. C'était un fait de la réaliter auquelle elle ne pouvait pas échapper. Elle posa alors ses lèvres dans le coups de Maïko et elle lui fit plien de tendre baiser. Une de ses mains étaient entrein de lui caresser les cheuveux.

Misa et Maîko continuèrent de sembrasser comme des foux amoureux. La jeune fille était combler. Elle sentit une main de son néko venir se poser franchemant sur l'une de ses fesses et elle ne dit rien. Elle ressentait une drôle se sensation aux bas de son ventre, c'était étrangement chaud et agréable a la fois. Puis il arrata ses baiser et s'excusa en l'appellant par son prénom, ce qui fit très plaisir a Misa, et lui dit que c'était par ce qu'il avait envie d'elle. Mais ce qui tombait très bien c'est que la jeune fille avait également envie de lui. Puis il s'embrassèrent encore et encore et elle sentit qu'il posa sa main sur son sein. Cela fit frémir la jeune demoiselle et elle eut un frisson. Maïko s'excusa encore une fois auprès d'elle et elle se redressa doucement.

-Ce n'est rien. J'adore ça.

Misa commença par déboutonner son chemisier et elle prit une main de Maïko qu'elle posa sur son sein gauche. Il pouvait sentir son coeur battre a toute vitesse. Elel avait toujours son soutien gorge blanch sur elle.

-Désoler j'ai quelques sicatrices qui ne sont pas très jolie a voir.

Elle lui fit un sourire timide et elle commença également a déboutonner la chemise de Maïko. La gentille jeune fille un peu coinser c'était totalement transformer par une jeune femme guider par ses hormones.

En déboutonnant le chemisier de son néko, Misa put voir que lui aussi avait quelques cicatrice et elle était presque sur que ce n’était pas médicale a la façon dont ses dernières s’étaient refermer. Puis Maïko lui lécha gentiment ses cicatrices à elle et après ses seins. La chaleur que Misa ressentait tout au fond d’elle commençait à devenir plus importante mais elle n’était plus seule désormais. Encore une fois cette peur revient mais heureusement elle était quelque peu atténuer par le désir soudain de la jeune fille. Maïko caressait une fesse et un sein de sa maitresse pendant que celle-ci passait sa main dans ses cheveux et touchait ses oreilles. Puis il ajouta avec un sourire.

-Vous avez l'air de prendre du plaisir ma chère maîtresse, sa ne vous gênes pas mais pourquoi accepter vous toutes ces choses tout d'un coup alors que la dernière fois après un baiser vous m'avez repoussé ?

Il l’embrassa encore après cette question puis attendit qu’elle réponde. Misa ne s’avait pas quoi lui dire mais malheureusement la vérité s’imposa a elle irrévocablement. Elle prit alors conscience qu’elle était entrain de confondre précipitation avec envie. Son visage se fit alors moins gais et assurer et elle se rendit compte de jusqu’ou elle était allée guider enfaite par l’une de ses peur les plus profonde. Avec son regard de nouveau triste, elle descendit de Maïko et s’assit a coter de lui. Elle ramena ses jambes contre elle comme si elle avait fait une bêtise et qu’on venait de la gronder et aussi bien sur pour cacher sa petite poitrine et ajouta d’une voix timide et résinier.

-Je suis désolé. Je me suis emporté aujourd’hui. Je n’ai pas réfléchit suffisamment. C’est juste que je sais, malheureusement que… Je risque de ne jamais voir venir mes 20 ou mes 30 ans. Alors j’ai voulut profiter de la vie avant de mourir. La crise que j’ai eut hier ma vraiment fait très peur et ma beaucoup fait mal. J’ai eut peut de mourir maintenant sans avoir put te prouver que je t’aimais. Je sais que je n’aurais sans doute pas la chance de vivre assez longtemps pour avoir des enfants ou même me marier. Je vais mourir jeune et c’est ça qui a précipiter ma décision, je m’en rends compte maintenant. Excuse-moi de ma bêtise…

Les peurs de la jeune fille étaient remontées d’un coup et elles l’empêchaient maintenant de finir sa phrase dans un sanglot. Misa avait toujours sut qu’elle mourrait jeune même si ses parents voulaient croire l’inverse. Elle en était terrifier, ce n’était qu’une enfant dans el fond et elle pensait souvent a tout ses choses qu’elle n’aurait pas le temps de faire avant ça.

Les paroles de Maïko mirent fin au sanglot de se maitresse. Il ne lui en voulait pas de s'être montrer si entreprenante soudainement. La jeune fille s'écha ses larmes et se rhabilla. Elle descendit du lit et se dirigea vers la porte.

-Et si on allait déjeuner maintenant ?! J'ai un peu fain. Et cette après-midi on pourra surement aller se balader en centre ville. Ce serais comme une sorte de rendez-vous...

Misa avait retrouver un semblant de sourire. Si elle devait vivre encore autant faire son possible pour être heureuse. Mais elle n'était pas seulement joyeuse pour elle mais aussi pour son néko. Elle n'avait pas vraiment le droit de lui infliger ses larmes. Elle se promit alors de ne plus jamais pleurer devant lui ni de lui faire de la peine. Elle attendit que Maïko la rejoigne et ils descendirent prendre leur petit déjeuner. Dans la salle a manger il y avait déjà ses parents avec la gouvernante dans un coin de la pièce. Misa s'installa a table et invita son néko a faire de même. La jeune fille vit bien le regard mauvait que lui lança sn père mais ce dernier repongea vite son nez dans son journale. Pendant qu'on lui appartait a manger Misa dit a sa mère.

-Mère, je vais me promener en ville cette après-midi avec Maïko. J'aurais besoin de la voiture si possible. Ce crois que prendre l'aire me ferra le plus grand bien.

Misa affichait maintenant une mine heureuse avec un sourire mais c'était presque devenut son nouveau masque. Elle se devait d'être joyeuse pour que les autres le soit aussi.

Après le déjeuner, Misa et Maïko prirent la voiture pour aller en ville. Elle penssait vraiment que tout le monde avait crut a sa mascarade du bonheur. Tous, sauf Maïko... Il avait remarquer lui, qu'elle fesait semblait de jouer la mélodie du bonheur. D'ailleurs il lui en parla dans la voiture et se qu'il a se moment là fit étrangement de la peine a Misa. Elle laissa couler quelques larmes. Elle pouvait compter sur Maïko désormais pour la rendre heureuse mais elle avait l'impression d'être une mauvaise personne égoïste et sans qoeur si elle ne rendait pas aussi heureux son néko d'amour. Elle ne disa rien dans la voiture et cette dernière arriva enfin en plein centre de la ville. Misa sécha ses larmes et descendit de la voiture en tenant la main de Maïko. Pour aujourd'hui elle n'allait pas faire semblant d'être heureuse, elle allait l'être réellement.

[suite aux magasins ^^]

Arriver à la maison Maïko monta les sacs dans la chambre de sa maitresse et revint saluer les parents de la jeune fille. Elle voyait bien que Maïko était étrange, il lui dit qu’il l’aimait de tout son cœur. Misa sentit justement son cœur descendre dans sa poitrine. Elle entendait ses paroles pour des mots d’adieux. Elle ne voulait pas ! Elle ne voulait pas que ce soit déjà la fin ! Elle ne voulait pas le perdre maintenant… La jeune fille avait peur désormais. Dans un élan, elle le prit par la taille pour lui faire un câlin et comme pour le retenir. Elle cacha son visage triste dans le torse de son néko. Ce n’était pas très convenable pour ses parents alors elle le lâcha et monta dans sa chambre après avoir salué ses parents. Elle monta les escaliers et elle savait que son néko la suivait c’est pour quoi elle ne se retourna pas. Elle ouvrit la porte et alla se planter devant sa fenêtre qui donnait sur la mer. Elle s’éclaircissait la gorge et parla.

-Maïko j’ai une drôle de sensation. Tu veux partir maintenant ? Je comprendrais si c’était le cas, si tu voulais être heureux ailleurs avec une maitresse qui n’est pas malade et qui toute la vie devant elle. Avec une maitresse qui n’est pas une enfant et qui est belle…

Misa laissait perdre son regard dans le paysage du coucher du soleil. Elle tortillait nerveusement ses doits sur son ventre. Elle avait l’impression qu’elle allait vomir à tout moment de peur. S’il lui disait qu’en effet il voulait partir, elle s’effondrerait surement. Il avait sut depuis son arriver lui rendre son sourire et sa joie de vivre.

Le neko ne savait pas quoi dire , sa maîtresse n'avait aucune raison de douter de son amour de sa confiance , de tout ce qu'il avait pour elle et pour lui elle ne doutais pas elle se demander juste si le neko ne voulait pas partir , Maïko ne voulait vraiment pas partir de chez Misa il y était bien et ne manquait de rien , l'amour de sa maîtresse lui faisait oublier les multiples cicatrices sur sa peau et dans son coeur avec les blessures que lui avait infliger sa dernière maîtresse , il savait quoi répondre aux question de sa maîtresse , il s'approcha la saisi par la taille et lui dit :

- Non ne pleure pas je ne partirais pas jamais , je ne veut pas croire qu'il ne te reste que quelques années à vivre car c'est faux tu à encore longtemps devant toi , aucune personne au monde n'est plus belle que toi pour moi , c'est toi la plus belle , je n'ai aucunement l'intention de partir d'ici .

Peu après il l'emmena vers le lit et la posa à l'endroit ou elle était habituer à dormir , il s'allongea à côté d'elle , il savait quoi dire et quoi penser , il penser seulement à la promesse faite à sa chérie , la promesse de ne jamais la rendre triste et même si elle ne voulait pas qu'il reste il resterait sa maîtresse lui manquerait bien trop , il chuchota à son oreille :

- S'occuper d'un petite fille malade n'est pas un problème , j'aime bien m'occuper de vous même alors bon ne vous poser pas toutes ces questions .

Le neko se retourna un peu et embrassa sa maîtresse avec la langue tout les sentiments d'amours revenus ...

Misa était terrifier par ce que pouvais lui répondre son néko. Il vint par derrière et la prix par la taille lui disent que jamais il ne partirait. Misa se sentit plus légère et moins angoisser soudain. Elle pouvait compter sur lui, faire sa vie avec lui, être entièrement a lui et personne d'autre. Pau après il l'emmena vers le lit et tout deux s'allongèrent tranquillement. Misa était blottit dans les bras de Maïko. Ils étaient bien là tout les deux. Et il lui demanda de ne plus se poser trop de question. Misa ferma alors les yeux pour vider son esprit et en les rouvrant, elle donna un baiser magnifique a son néko. Elle arrêta le baiser et dit.


-J'ai très envie de t'embrasser pas toi? J'ai même envie de reprendre se qu'on fesait ce matin a moins que tu sois fatiguer et que tu préfère dormir.


Elle avait un sourire enfantin, une vrai petite poupée de porcelaine. Bien qu'elle portait une robe près du corps et des sous vêtements de femme. Elle passa ses bras autour du coup de Maïko et colla son corps un peu plus a lui. Elle fesait fusionner sa langue avec celle de son néko comme si elle ne fesait qu'un.

Maïko recevait un magnifique baiser de sa maîtresse adorée , il décrocha ses lèvres et , réfléchis à sa question , il mesurait le pour et le contre et il y avait beaucoup plus de pour , il répondit alors simplement :

- Nous pourrions reprendre la ou on c'était arrêter ce matin non ?

Il l'embrassa la bulle qui c'était former dans le cinéma se reformer , il dégrafa les boutons de la robe et la fis descendre , il la jeta sur une chaise non loin du lit , le neko était vraiment exciter par sa maîtresse , il décrocha à nouveau un baiser tendre et amoureux ou leurs langues ne faisaient plus qu'une , le neko aimait cette sensation , il n'arrêta pas le baiser avant un long moment et recommença à toucher les seins de sa maîtresse et ses fesses , il ne pouvait pas s'en empêcher , il dit alors à sa Misa :

- Misa si nous continuons comme sa nous irons plus loins que ce matin c'est ce que tu veut ?

Maïko attendit la réponse de Misa ...

Maïko avait autant envie que sa maitresse de reprendre leur étreinte de se matin. C’était merveilleux ! On aurait put croire a un vrai compte de fée bien qu’il son rare, il les avait emporté avec leur magie. Il était à nouveau seule au monde. Maïko retira doucement la robe de Misa et elle se retrouva en boxer et corsaire. Elle devait être magnifique ainsi bien qu’elle ne le pensait pas. Elle avait toujours un corps de gamine et sa ne changerais pas maintenant. Puis il lui demanda si c’était bien ce qu’elle voulait. Elle lui fit un sourire craquant et mignon qui voulait dire oui avant qu’elle ne l’embrasse. Elle passa ses mains sous le haut de son chéri et lui retira. Il n’avait plus que son pantalon mais soudain elle fut attirer par ses lèvres comme un aiment. Misa laissa glisser ses doigts sur le torse nue de son future amant. Il était vraiment beau. Soudain Misa se demanda si son corps chétif n’allait pas écœurer Maïko. Elle arrêta alors de l’embrasser et lui dit.

-Je n’ai pas un corps très plaisent. Je veux dire, il est banal. Toi tu es tellement plus beau que moi ! Tu es parfais. Et comme c’est ma première fois je te demanderais de ne pas aller trop vite et d’être doux avec moi.

Elle lui fit un sourire bien qu’elle nerveuse. Elle c’était déjà montrer nue devant plein de monde mais la c’était différent. Sa lui tenait a cœur. Elle voulait tellement être parfaite pour lui plaire.

Maïko lui lécha l’oreille et lui dit qu’il l’aimait et qu’il irait doucement mais soudainement, il lui retira ses derniers vêtements. Elle n’eut pas le temps de comprendre, qu’elle se retrouva nue comme un verre de terre. Il commença par la lécher de tout partout et entreprit de lui caresser les seins et les fesses. Soudain Misa fit glisser sa main sur le pantalon de son néko et sentit a qu’elle point il avait envie d’elle. Elle se redressa et lui retira ses vêtements puis son caleçon. Elle vit alors pour la première fois en détaille se que voulait dire le mot exciter. Elle eut un sourire. Puis elle se rallongea et embrassa le coup tendrement de Maïko. Elle sentit e de nouveau cette excitation lui chauffer le ventre. Elle avait très envie de lui maintenant. Elle retira ses lèvres et se mit sur le dos comme pour l’autoriser à toucher son corps d’enfant. Elle avait les pétons qui venaient de se durcir et elle sentait vraiment qu’elle était exciter. Maïko vint sur elle et elle lui dit alors.

-N’oublie pas de rester doux. Je t’aime tellement s’il te plait ne me fait pas de mal. Je suis heureuse de le faire avec toi pour cette première fois. Je t’aime.

Elle lui donna un baiser tendre et délicieux. Dans ses yeux violets se voyait une joie non cacher avec une pointe de peur.

Misa ressentit que Maïko était angoisser lui aussi. Décidément ! Mais il commença à la pénétrer tout doucement en lui demandant souvent si sa allait. Elle se sentait bien pour une fois mais ce fut soudainement que la douleur arriva. Misa ferma les yeux et dit a son néko de continuer quand même. Les vas et viens qu’il commençait fessait disparaitre la douleur au fur et a mesure. Misa commença enfin a se détendre et même prendre du plaisir. Elle sentait le sexe de Maïko en elle, une sensation très étrangement mais également très plaisante. Elle en avait des frissons partout mais elle se sentait pourtant très chaude. Elle dit alors dans un élan de plaisir.

-Va plus vite !!!

Son néko s’exécuta et elle sentait vraiment toute l’intensité de l’acte. Comment avait-elle put avoir si peur de faire l’amour alors que c’était tous simplement merveilleux et agréable ? Soudain elle se demanda si Maïko appréciait autant qu’elle. Car pour faire l’amour on est deux et ce pas très juste qu’il y en est un qui prenne plus de plaisir que l’autre. Mais soudain la jeune fille n’en pouvait plus, le plaisir était devenu trop intense et elle allait bientôt jouir. Elle sera les dents encore un peu.

Misa sentiat cette chaluer fulgurente en elle et elle ne pouvait retenir de peeit crie. Maïko alla de plus en plus vite comme elle lui vait demander et on pouvait bien le dire, c'était très plaisant. La jeune fille avait agripper les draps sous ce plaisir intence. Maîko lui fit un baiser et lui dit qu'il l'aimait et que lui aussi allait bientôt jouir. Misa ne pouvait plus se retenir alors quand elle sentit cette pression en elle et laissa échapper un jouissement sonnore et charnelle. Maïko avait jouit en même temps qu'elle. Elle passa ses bras autour de lui et lui donna un baiser mémorable. Elel ne décrochait plus ses lèvres de celle de son néko et elle aimait sa. Puis, pour respirer, elle les retira tout de même et dit alors d'une voix douce.

-Merci d'avoir été doux avoir moi, je t'aime.

Elle avait un sourire aux lèvres puis elle sentit la fatigue la gagner. C'était trop de plaisir en une seule fois. Maïko se retira d'elle et elle sentit un liquide couler entre ses jambes. Elle le toucha avec ses petits doigts et les mit a la bouche après. C'était chaud et avait un lègé gout amer et salé. Elle n'aimait pas trop. Maïko s'allongea a coter d'elle et elle vint se blotir contre lui. Cette nuit était parfaite et elle ne l'oublirait jamais.

Misa n’avait pas mit longtemps avant de s’endormir la nuit dernière et le réveille se fit un peu plus difficile. Maïko la réveilla en douceur avec des baisers. Lui ce main semblait être monté sur ressort. Misa resta un instant dans le lit. Elle était toujours nue et pas très propre. Les draps étaient loin d’être propre eux aussi. Maïko préparer les vêtements de sa maitresse. Elle se leva nue et alla faire un bisou a Maïko avant d’ajouter.

-Je vais prendre une douche, je n’en ai pas pour longtemps, attend moi.

Elle lui fit un sourire charment et disparut dans la salle de bain. Elle fit couler d’eau et se lava correctement. Après elle s’enroula dans une serviette et ressortit. Elle enfila ses vêtements que son néko lui avait préparé et se sécha les cheveux puis elle vint devant son néko et lui demanda.

-Je suis jolie habiller ainsi ?

Une question piège a laquelle il ne fallait surtout pas répondre non sous pênes de tempête toute la journée. Elle avait un vrai sourire et elle semblait différente se matin, comme plus femme peut-être mais son ventre se mit a grogner. Et oui les efforts sa creuses !

Misa prit le temps de se faire belle aujourd'hui pendant que Maïko prenait sa douche tranquillement. Elel se maquillage légèrement et coiffa ses long cheveux, la morssure dans son coup avait disparut. Elle se fit un chignion lache et se parfuma un peu. Maïko sortit de la salle de bain et ils allèrent prendre le petit déjeuner. Les parents de Misa étaient déjà sur place, chacun son nez dans leur journaux. Ils ne prétèrent même pas attention a leur fille se qui la chagrinna un peu. Après le petit déjeuner pas bon du tout pas rapport a hier soir, Misa monta a l'infirmerie. Avant d'entrer MaÎko lui dit un dernière fois qu'il l'aimait. La porte se referma et Misa se déshabilla. Etrangement aujourd'hui elle trouva que son docteur avait les mains froide sur son petit corps. Une fois tout les teste fini et que les diagnostique était bon Misa lui avoua tout.

-Docteur cette nuit j'ai coucher avec mon néko et je me demandais si vous pouviez me donner une contraseption.
Il la regarda étrangement et dit après.

-Je vais devoir t'examiner avant de te donner quoi que se soit mais tu aurait dut la prendre avant! Tu pourait te retrouver enceinte maintenant, c'est dangereux.

Le docteur s'emblait vraiment inquiette pour elle bien qu'elle ne l'était pas. Il lui demanda de se déshabiller complétement et de s'allonger sur la table et d'ouvrir les jambes. Misa était extrémement géner surtout qaund il commença son hoscultation. Elle tacha de se détendre un peu puis il l'autorisa a se rhabiller. Il allait étudier aujourd'hui et lui donnerais une contraception demain. Misa resortit de l'infirmerie et retrouva son néko. Elle allait rien lui dire pour ne pas l'inquiéter inutilement.