Enfin arrivée chez nous! [PV: Maïko][Terminer]

Maïko lui avait fait la promesse de ne pas pleurer et de vivre heureux si elle devait un jour mourir. Cela rassura la jeune fille au plus profond d’elle-même. C’était un poids en moins. Puis, entre deux baiser, il lui demanda a son tour de lui faire une promesse. Celle-ci consistait a ce que Misa n’est pas d’autre néko que lui. La jeune fille eut un sourire et la remembrasse encore. Chaque baiser semblait unique et éphémère. Maïko était allonger près d’elle et elle lui caressait ses cheveux doux en ajoutant gentiment.

-D’accord je te le promets et de toute façon, je ne comptais pas en adopter plusieurs. Juste un que j’aimerais passionnément. Mais je t’en pris, ne me vouvoie plus, dit moi tu et appel moi Misa. Se son mes domestique qui fond se genre d’appellation et tu n’es pas l’un de mes domestiques. Tu es mon néko que j’aime.

Elle continuait toujours à lui caresser les cheveux avec un léger sourire sur le visage. Cette punition était plutôt agréable et la jeune fille venait d’offrir son cœur malade à Maïko. Elle ne se doutait pas encore des complications avenir que cella allait provoquer en elle. Alors dans un autre murmure elle demanda.

-Je peux te caresser la queux ?

C’était une chose que Misa avait envie de demander depuis un petite moment et elle trouva enfin une occasion.

Maïko avait bien voulut que Misa joue un peu avec sa queux. Il lui chatouillait le nez avec et elle jouait avec. Le néko demanda a sa maitresse de bien en faire attention. Et pendant qu’elle jouait avec la queux douce comme un plumeau, Il caressait les beaux cheveux de sa maitresse et les demanda si elle voulait aussi toucher ses oreilles. Elle avait un sourire sur le visage et ils entendirent la clé tourner dans la serrure. Maïko embrassa une dernière fois langoureusement sa maitresse puis la porte s’ouvrit. C’était la gouvernante qui venait annoncer l’heur du gouter. Misa se leva des son lit et elle descendit avec Maïko dans la salle a manger. Du thé et des petits gâteaux était préparé. Misa ne dit rien, fessant toujours la tête a sa gouvernante. Puis quand le gouter se termina Misa dit alors.

-Maïko va m’attendre dans ma chambre, je reviens, je parler avec ma gouvernante.

Le néko s’exécuta et Misa sa tourna vers sa domestique.

-Vous m’avez beaucoup déçut madame. Vous ne faites aucun effort pour me rendre heureuse en l’absence de mes parents et de plus vous accuses de les rendre malheur aussi. Pour ce qui concerne mon néko. Je suis la seule a pouvoir lui donner des ordres. Donc j’ai décider qu’il restera près de moi a mes coter tout le temps, le jour comme la nuit. Et si je vous reprend encore une fois a le mal traiter, je ne donne pas chère de votre peau madame. J’espère avoir été claire.

Misa tourna les tallons et remonta dans sa chambre rejoindre son néko. Elle avait un visage neutre.

Quand elle retourna dans la chambre, Maïko ferma la porte a clé derrière elle, ce qui n’était pas dut tout flippant pour une gamine de 13 ans. Puis elle alla s’allonger sur son lit. Elle passait ses journées allongées ses derniers temps. Maïko vint vers elle et il se retrouva au dessus d’elle. Il lui fit un long et langoureux baiser qui fit tourner la tête à sa jeune maitresse. Il lui rappela que si elle voulait toucher ses oreilles, elle pouvait. Et il l’embrassa encore un fois. Les lèvres de Misa n’avait jamais été autant occupé. Maïko s’en rendit compte et détourna la tête en un rougissement mignon. Puis il se laissa rouler sur le coter. Il tenait la main de sa maitresse. C’était dernière était totalement dépasser par les évènements et elle n’osait rien dire de peur de vexer son néko chéri. Puis il s’assit en tailleur et la prit dans ses bras pour faire un câlin. Misa avait un peu l’impression d’être le nouveau jouet de Maïko mais elle l’aimait tellement qu’elle ne disait rien. Quand soudain, en plein milieu du câlin tendre, Misa sentit des cross dans son coup. Maïko était entrain de la mordre. La jeune fille surprise ne dit rien sur le coup. Puis il arrêta, s’excusa et alla s’enfermer dans la salle de bain. Misa resta la, assise sur le lit. Elle porta une main instinctive a son coup et elle s’entait la douleur partir peux a peux.

** Mais qu’est ce qui c’est passer ? Je n’ai rien comprit ? J’ai fait quelques choses de mal a Maïko ? Pourquoi il me fait sa a moi ? Pourquoi il me mord ? **

La jeune fille était encore plus déroutée qu’avant et complètement perdu. Son néko avait un problème apparemment. Elle se releva tout de même et elle regarder son coup dans le miroir de sa coiffeuse. Elle avait la trace des deux canines dans la chaire. Elle posa ensuite la main sur la poignet de la salle de vain ou Maïko s’était enfermé, puis soudain, elle fut pétrifié de terreur. Elle ne pouvait pas ouvrir cette porte, c’était impossible. Il lui avait fait peur, fait mal… Elle recula alors de quelques pas et se mit a pleurer. Elle ne voulait plus rester dans sa chambre maintenant. Elle déverrouilla la porte et sortit dehors, s’assoir sur le banc et attendre de finir de pleurer.

Misa était dehors et continuait de pleurer pour je ne sais quel raison encore... Puis elle vit Maïko venir vers elle. Elle ne s'avait plus comment réagir, elle était dépaser par les évènement et se sentait complétement perdu. Son néko s'excusa encore et encore. Les pleures de la jeune fille s'arrêtairent enfin et elle la regardait calemement maintenant. Elle se demandait comme un être aussi doux et gentil que lui avait put lui faire du mal ouvertement. Puis le néko s'expliqua. Ce n'avait été qu'une pulsion, une envie de mordre quelques choses et c'était tomber sur Misa. Il avait mal aux dents en ce moment. Puis il lui proposa de l'enfermer dans la cave. Misa était surprise. Elle ne voulait pas l'enfermer même si il l'avait mordu. Sa n'avait été qu'un accident rien de plus. Puis Maïko regarda par terre et sembalit abatut. Misa prit le visage de son néko dans ses mains et le regarda au fin fond de ses prunelles.

-Je ne t'en veux pas. Tu m'as juste fait peur et mal... Mais se n'est rien. Je ne vais pas t'enfermer a la cave pour ça. C'est pas grave dans le fond....

Misa tenta de lui faire un sourire pour appuyer se qu'elle veniat de lui dire. Elle ne voulait pas qu'il se sente triste a cause d'elle.

Maïko fit un baiser a sa maitresse et le dit de qu'il obéirait a tout se qu'elle lui demandait. Puis il reprit son baiser. Misa allait finir par avoir les lèvres en feu avec le nombre de fois ou il l'embrassait. Ca la gênait un peu d'ailleurs, elle n'était pas habituer. Il fit enfin par découler ses lèvres et sa langue d'elle et il lui demanda comment ils allaient faire pour cacher la marque que Misa avait dans le coup. La jeune fille savait très bien que si la gouvernante la voyait, elle allait tuer Maïko. Alors dans un mouvement souple, elle sétacha ses long cheveux qui lui tombaient sur les épaules. Cela cachait son coup. Puis le néko promit a sa maitresse de ne plus jamais lui faire de mal. Elle le crut naïvement et lui fit un sourire. Il lui fit donc un gros câlin en l'embrassant une dernière fois. La gouvernante arriva a se moment mais elle ne remarqua rien heureusement. Elle leur annonca l'heur du diner ainsi que les parents de Misa était au téléphone. Les deux jeunes amoureux allèrent dans la salle téléphonique et Misa prit le combiner. Ces parents lui annonçaient qu'ils seraient de retour a la fin de la semaine. Ils tennaient beaucoup a rencontrer ce nouveau néko. Misa savait pertinament qu'il voulait surtout lui donner des rêgles strict qu'il ne pourrait pas violer. Car Misa avait beau être sa maitresse, ses parents étaient encore au dessus. Ell eracrocha le téléphone et annonça la bonne nouvelle a Maïko.

-Mes parents rentre a la fin de la semaine pour te rencontrer. Il faudra que tu soit très polie, gentie et servable avec eux. Je compte sur toi !
Elle lui fit un clin d'oeil avec un sourire. Et ils allèrent manger.

Le repas du soir était toujours la même chose, manger des milles et des fois. Misa soupirra mais mangea toute son assiette tout de même. Elle était affamer. Qaund ils eurent fini de dîner, Misa et son néko montèrent pour aller se coucher. En chemin, Maïko lui demanda si elle voulait toujours de lui dans son lit. Elle ne dit rien sur le coup. Réfléchisant a sa réponse. Elle voulait le sentir près de lui, se blottir contre lui, ne plus resentir cette grande place froide a coter d'elle. Mais d'un autre coter, elle ne pouvait pas être certaine qui ne tenterais pas de la mordre en dormant. Non ! Elle trouvait ça stupide. Il la laissa entrer la prmière dans la chambre, ce qu'elle remarquer et trouvait cela très polie et chamrant. Il la porta ensuite jusqu'au lit et il continuait d'attendre sa réponse. Misa devait juste laissait parler son coeur et ne plus réfléchir trop longtemps. Elle lui fit un sourire et lui caressa la joue tendrement.


-Je te veux près de moi cette nuit. Je n'aime pas me retrouver seule dans mon lit. Je voudrais que tu ne le quitte plus jamais.


Elle avait un sourire au lèvre puis elle se glissa sous les draps, laissant une place près d'elle a Maïko. Elle posa sa tête sur son oreiller et ses chveux sétallèrent laissant réaparaitre sa marque dans son coup. D'ici demain il ne devrais ne plus rien y avoir. Quand Maïko s'allongea près d'elle, elle se colla a lui et elle déposa son visage dans son torce, comme pour se nicher confortablement. Elle aimait sentir son odeur.

Misa était près de son néko a sa lui convenait parfaitement. Puis il continua a lui donner pleins de baiser se qui ne gênait plus vraiment la jeune fille, elle était habituer a ce que son néko, maintenant lui montre son amour comme ça. Puis, soudain, il se retrouva au dessus d'elle. Le coeur de Misa eut un sursaut et elle sentait que la peur n'était pas très loin. Il continua de l'mebrasser et de lui faire des câlins. Misa sentait qu'elle n'avait qu'un mot a dire et il lui ferais tout se qu'elle voulait mais plus le temps passait, plus cette peur commençait a la prendre. La jeune fille se mit a repsirer plus difficilement mais elle ne voulait rien dire a Maïko pour ne pas le blaisser. Alors ne dit rien et et ferma les yeux. Son coeur avait redoubler de battement et la jeune fille avait chaud. Soudain, elle ne pouvait plus, sa peur le tennait de trop. Elle repoussa Maïko de toute ses forces et dit alors d'une voix tremblante et s'accader par sa mauvaise respiration.


-Je... Sa suffit maintenant... Tu me fait peur en étant trop entreprenant... Je... Je suis t'as maitresse... Je ne veux pas...


Elle n'arrivait pas a finir sa phrase. Elle voulait juste sentir une présence qui l'aime près d'elle, pas qui lui saute dessus. Elle se redressa dans son lit et respira tranquillement. Puis elle se rallongea une fois calmer.


-Il est t'en de dormir je pense maintenant. Bonne nuit.


La jeune fille ferma les yeux mais le sommeil ne vint pas de suite.

Misa fini enfin par s'endormir. Comme d'habitude, elle ne rêva pas et la nuit fut douce et agréable. Quand elle se réveilla par la rayon du soleil, elle sentit encore cette place froide a coter d'elle. Elle se leva d'un bon paniquer, Maïko n'était plus là. Il lui avait jurer de ne jamais s'enfuire, de ne jamais la laisser. Soudain Misa sentit une grande solitude l'envaillr. Elle se retrouvait là, seule debout au milieu de sa chambre. Il était partit... Il avait fini par l'abandonner aussi... Toute les personnes qu'elle aimait finisait toujours pas partir. Des larmes finirent pas couler de ses grand yeux. Elle se sentait tellement vide maintenant... Elle était seule dans sa vie remplie de noir. Son rayon de soleil n'était plus là.


** Je suis encore seule... personne ne peux m'aimer... c'est impossible de me donner de l'amour... Je suis si tritse et seule... **


Elle se laissa alors tomber dans un grand bruit sur le sol. Elle était allonger par terre et elle pleurait. Elle se sentait écraser sous sa douleur et son chagrin. Elle avait placer beaucoup d'amour dans son néko et il était partit quand même. Elle ne se sentait plus la force de se relever maintenant. Elle allait rester ainsi pour toujours, elle ne voualit plus se battre, elle attendrait que la mort la prenne. Comme pour répondre a ses appelles, son coeur se fit plus douloureux et la jeune fille n'arrivait plus a respirer. Des larmes de douleur coulaient toujours de ses yeux claires.

Misa était toujours allonger par terre, attandant que son coeur lache ou qu'elle se calme si elle devait vivre encore. Elle avait les yeux fermer mais ses larmes coulaient toujours. Elle était comme déconecter de cette réaliter qu'elle rejetait. La plus grande peur de Misa n'était pas la morts mais la solitude. C'est alors qu'elle sentit la presence de Maïko près d'elle. Soudain elle se dit qu'elle était morte et que c'était un rêve mais son coeur lui fesait toujours aussi mal donc elle était bien vivante et il était près d'elle. Il lui dit alors qu'elle l'avait blesser hier soir. Avait-il chercher a la blesser égalment en l'abandonnant cette nuit ? Voulait-il la faire souffire comme elle l'avait fait souffrir ? Il la prit dans ses bras et lui fit un câlin. Misa respirait mieux maintenant mais elle ne pouvait toujours pas parler. Son coeur se calmait peu a peu. La jeune fille n'avait plus la force de marcher et elle demanda alors a son néko dans un murmure qui lui brûla la gorge.


-Porte moi jusu'a mon lit s'il te plait...


Misa n'allait pas vraiment être en forme aujourd'ui. Son coeur lui déchirait toujours la poitrine et ses larmes coulaient toujours le long de ses joues humide. Mais elle était rassurer, son néko était près d'elle. C'était de sa faute tout se qui s'était passer depuis hier soir. Elle respira donc pronfondément et ajouta.


-Je suis désoler de t'avoir fait de la peine, je ne voulais pas, j'avais trop peur, pardon, je t'aime...


C'était bien l'une des premières fois qu'elle disait qu'elle aimait quelqu'un ouvertement. Elle avait confiance en lui et elle avait aussi lui dire.

Maïko avait obéit et porter sa jeune maitresse jusqu'a son lit. Il la déposa sur les draps froids. Il ne souriait plus comme avant, Misa avait peur d'avoir a jamais briser se coeur se doux et gentie qu'était celui de son néko. Il lui caressa la joue et elle l'embrassa. Elle avait espérer dans se geste, lui montrer son amour. Puis Maïko lui alors qu'il l'aimait et lui tourna le dos après. La respiration de Misa était redevenu normale et son coeur moin douloureux, puisque la mort l'avait encore rejeter quand elle l'avait appeler. Elle se redressa dans sonlit, se mit sur ses genoux et posa ses bras autour du coup de son néko chéri. Elle se colla a lui et lui murmura tendrement a l'oreille.


-Je suis vraiment désoler Maïko, je t'aime et je ne veux pas que tu en souffre. Je ne voulais pas te blesser hier soir. Je tiens a toi et sa ne me dérange pas que tu m'embrasses. Je ne me suis jamais sentit aussi vivante. Mais je t'en prit, ne me fait pas la tête, j'ai besoin de toi, de t'es baiser, de ton corps pèrs de moi, ne m'en veux pas d'avoir eut peur...


La jeune fille avait parler avec son coeur. Elle posa sa tête sur l'épaule de son néko avec toujours ses bras autour de son coup. Elle lui fit alors des bisous dans son coup tendre. Elle espérait bien qu'un jour, elle surmonterait la peur qu'elle avait eut hier soire.

Maïko prit Misa dans ses bras pour lui faire un câlin surement, puis il lui demanda pourquoi elle l'avait repousser. La jeune fille était gêné de devoir lui avouer donc elle ne répondit rien imédiatement. Il lui fit un petit baiser puis commença a pleurer. Misa tendit sa main et lui sécha ses larmes. Il la serra un peu plus ford contre lui et la gouvernante entre dans la chambre. Elle était énerver que les deux tourteraux ne soit pas encore près. Misa se leva et la nurse fit couler l'eau du bain en y mettant le néko et sa maitresse. Misa n'était pas vraiment gêné d'être nue, plein de monde l'avait déjà vu mais elle ne voulait pas vraiment que Maïko remarque ses nombreuses cicatrices qu'elle avait au niveau de son coeur et de sa petite poitrine. En revanche, elle, elle n'avait jamais vue de garçon nue et elle évitait trop ragarder Maïko. Elle entra dans l'eau mousseuse et s'assit en tailleur. Elle commeçait a jouer avec la mousse, la fessant voler un peu dans tout les sens. Puis elle s'arrêta et justifia enfin son acte d'hier soire, qui avait prover t'en de douleur et de peine.


-Si je t'ai repousser hier soire, c'est parce que j'ai eut peur que tu me demande plus que mes lèvres. J'ai eut peur que tu veuilles mon corps aussi. Je n'ai que 13 ans et je ne me sent encore pas près a faire cela. Je commence seulement a m'habituer a tes baisers et j'ai tout simplement prit peur. Je ne voulait pas te faire de la peine...


Etrangement la jeune fille malade ne se sentait pas mieu après c'être justifier. Son sentiment de culpabiliter ne disparut pas au contraire de son sourire.

Misa avait toujours se sentimpent de culpabilité en elle. Ca lui fessait comme une grosse boule dan sle fond de sa gorge et de son estomac. Puis Maiko lui donna un baiser sur la joue et lui promit de ne plus jamais la laisser seule. Misa voulait s'empécher de croire en cette promesse mais son coeur le désirait hardament. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres puis il l'embrassa l'engoureusement, ce qui eut pour effet de faire disparaitre sa boule d'angoisse. Puis il ajouta des paroles. La jeune Miss Kando aurait aimer répliquer, lui dire qu'elle l'aimait vraiment de tout son coeur même si ce n'était pas habituelle, mais son néko posa ses doigts sur ses lèvres et s'expliqua. Il était vrai que les parents de la jeune fille revenaient aujourd'hui et qu'il était mieux qu'il porte son collier. C'était ses parents qui allait décider du sort de son néko, elle le savait parfaitement mais jamais, désormait, elle ne suporterait d'être loin de lui. C'était comme chimique, Misa ne se sentait pas bien quand il n'était plus avec elle. Maiko avait comme un pouvoir de guérisson sur elle. Le néko noyait ses prunelles dans celle de sa maitresse et elle lui fit un sourire enfantin et rassurent.


-Je suis sur que mes parents vont t'adorer. Et pour ce qui est de la gouvernante, j'en fait mon affaire, elle ne donnera pas d'ordre injuste.


Misa avait ses genoux replier sur elle, pour cacher un peu son corps puis elle se pencha en avant et l'embrassa tendrement. Elle se redressa un peu après ce baiser. Maiko pouvait voir la poitrine de sa maitresse avec ses nombreuses cicatrices et elle vient s'assoire sur les genoux de son neko pour lui faire un câlin. La nuditer était une chose nouvelle pour elle, vue qu'elle n'avait jamais vue de garçon nue. D'ailleurs elle était un peu géné d'être dans cette position mais elle ne pensa plus a cela et elle déposa sa tête contre le torce de Maiko. Ses cheveux violet lui collait a la peau. Puis dans un murmure elle ajouta.


-Personne ne pourra jamais nous séparer tout les deux, je t'aime et je ne pourait désormais plus vivre sans toi. Tu ne t'en doute peut-être pas mais tu es une sorte de rayon de soleil dans ma vie. Tu me fait beaucoup de bien s'en forcément le vouloir. Alors je te ferais tenir ta promesse de rester pour toujours près de moi. Je ne te laisserais jamais partir. Tu vas s'en doute trouver sa égoiste et possésif mais j'ai besoin de toi...


Misa releva la tête et fit un baiser dans le coup de Maïko, doux et tendre. Elle voulut se redresser d'avantage pour l'embrasser sur la bouche quand sa main glissa contre le corps de son néko mouiller et veint se poser sur son sexe. La jeune fille la retira rapidement et une rougeureur instantaner vient sur son visage. Elle était encore plus géné maintenant et elle bafouilla des excuses.

Misa avait toujours les joues en feu a cause de se geste malheureux. Elle embrassa tout de même Maïko et a se moment là, la gouvernante entre dans la salle de bain. Misa eut vite fait de retrouver sa possition habituel a l'autre bout de la baignoir. Ce fut comme un coup électrique. Misa se trouvait vraiment supert géner. Elle aurrait presque eut envie de couler et de se cacher sosu la mousse. La gouvernante n'était pas dut tout contente et Misa savait parfaitement qu'elle allait tout répéter a ces parents. Elle allait devoir en assumer ses concéquances de ses actes et de son coeur. Misa n'osa plus rien dire et elle se dépécha de se laver et de sortir de la baignoir. Elle s'envelopa dans son peignoir et se sécha les cheveux. Elle sortit enfin de la salle de bain étouffante avec la gouvernante et elle s'habilla comme d'habitude. Elle mit une jupette classique noir avec une chemise blanche et une cravate noir et un veston. Elle se coiffa les cheveux avec un sert tête pour cacher encore un peu la morsure de Maïko. Elle se maquilla lèger et elle descendit déjeuner avec son néko, toujours suivit par la gouvernante malheureusement. Elle s'installa a la table et mangea toujours sans rien dire. Puis s'était l'heur de la visite médicale annuelle. Ses parents devaient rentrer dans la matinée et Misa commençait a stresser au fure et a messure. Cale pouvait se faire ressentir. Après la visite, le médecin dit que tout allait bien. Il n'était pas au courant que se matin Misa avait fait une crise. Et heureusement d'ailleurs. Une fois sortit du cabinet médicale, Misa n'avait plus qu'a attendre ses parents et imaginer se qu'elle pouvait bien leur dire.