Enfin arrivée chez nous! [PV: Maïko][Terminer]

Misa avait bien tenter de lutter contre la gouvernante, mais elle n'avait pas vraiment réhussi. Elle avait quand même mit cette sataner puce a son néko chéri. Cette déssision avait faillit transpercer le coeur malade de la jeune fille. Elle versa une larme ou deux puis elle entendit ses parents rentrer a la maison. Leur grosse voiture de luxe se garait dans la court. En d'autre temps Misa aurrait sauter au coup de sa mère et de son père, sa fessait un moment qu'elle ne les avaient plus vue. Elle descendit dans la court les accueillirs et elle ne put s'empécher de sauter dans les bras de sa mère. C'était une femme au visage doux et bien veillent. Elle avait les mêmes cheveux que sa fille et cette même gentillesse. Son père la prit également dans ses bras. Il était jeune, avec les yeux de Misa. Son visage par contre était un peu plus dure comme quand Misa était vexer ou contrarier. La jeune demoiselle ressemblait bien a ses parents. Elle avait un sourire au lèvre et ne cessait de rigoler. Quand elle se rappella enfin son stresse, elle se tourna vers spon néko et le présenta a ses parents.


-Maman, papa, je vous présente Maïko. C'est mon néko chérie que j'ai adopter. Il est vraiment très gentie et c'est un amour.


Elle hesseillait vraiment de présenter les choses sous leurs meilleurs jours. Mais la gouvernante arriva d'un aire polie que Misa ne lui connaissait pas vraiment.


-Bonjours monsieurs et Madame. Je suis heureuse également de vous revoir. Je tiens cependant a préciser que votre fille et son néko on été surpit dans une situation plus que génante.


La gouvernante n'avait pas besoin d'en dire beaucoup pour les regards dans parents de Misa change. Ils se firent soudain plus dure et sévère. Misa allait devoir leur expliquer les choses rapidements avant de que sa tourne mal.


- Maman, papa, je suis tomber amoureuse de Maïko. Je l'aime et je n'ai jamais été aussi heureuse ses dernires temps qu'avec lui. Je veux qu'il reste avec moi pour toujours...


Le regard de la mère fut plus choquer qu'autre chose après les mots de sa fille. Misa ne s'avait plus comment sauver la situation.

Misa était presque choquer par la réaction de ses parents. Maïko n'avait pas plus qu'elle réhussit a les conveincres mais la jeune fille n'allait pas lacher de si tôt. Elle respira tranquillement puis reprit d'une vois douce et gentille.


-C'est vrai que j'étais très maleureuse quand la gouvernante a voulut l'enfermer a la cave et je me suis sentit très mal. Je ne veux plus jamais être loin de lui. Il me fait du bien, il me relaxe et je me sent mieux quand je suis aimer et entourer d'amour...


Misa avait lancer cette réplique a l'intention de ses parents qui l'abandonait trop souvent a son gout. Elle s'avait parfaitement qu'ils faisaient ça pour son bien mais elle en souffrait tout de même. Elle prit souffain un visage de martire. Puis elle reprit d'une voix toujours aussi cristaline.


-Je vous aimes tout les deux mais je me sent seule tous les jours, enfermer dans cette grande maison avec ses domestiques pas toujours très gentie avec moi. Maïko me redonne le sourire et je veux être avec lui.


Misa s'interompit en voyant le visage cramoisie de son père d'ailleurs il répliqua.


-Tu ne peux pas tomber amoureuse de lui! Il n'est même pas humain! C'est un animal et jamais je n'admettrais que tu soit avec lui ! Jamais ! Dans deux ans tu iras dans cette école privée et la-bas tu te trouveras un fiancer humain et très correcte, mais ce Maïko ne doit pas être dans tes projets!


Des larmes commençaient a couler le long des joues rouges de Misa. Les paroles de son père lui avait fait mal. Soudain comme pour cacher sa douleur, elle courut monter dans sa chambre. Elle monta les marches des escaliers quatre a quatre et arriver dans son chambre, elle se jeta sur son lit et pleura a chaude larmes. Elle avait mal au coeur et sa respiration était difficile. Elle ne voulait plus écouter son père. Il avait déjà tout prévu dans sa vie et sa ne lui plaisait pas. Comment aurait-il fait si elle était bien morte il y a deux ans ? Il n'aurait pas eut plus d'héritier ou autre chose. Il ne pouvait pas se douter comme elle avait soiffe de liberté. Elle entendit la porte de sa chambre grincer et quelqu'un y entra. Elle pleurait toujours sur son lit, son visage dans ses bras.

Le neko resta sur le pas de la porte de l'entrée du manoir et vit le père de Misa monter , il s'en voulait il n'allait pas pouvoir rester avec Misa toute sa vie , il demande à la mère de misa :

- Pourquoi sa vous embêtes que Misa m'aime .

Il se tût et attendit une réponse de la part de la mère de misa , la gouvernante toujours a ses côtés ainsi que la mère de Misa ...

Misa pleurait toujours sur son lit quand elle sentit son père s'assoire a coté d'elle. Il déposa une main affectueuse dans les cheveux de sa fille et ajouta doucement.

-Chérie je suis désoler que tu t'es éprise de cet animal. Mais je ne veux pas qu'il compromet ton avenir brillant qui t'attend. Je veux pour toi une meilleur vie que la femme qu'un néko... Et d'ailleurs je trouve que tu es bien trop jeune pour être avec qui que se soit.

Ses paroles ne réconfortaient en rien la jeune fille. Elle était toujours malheureuse et sont père ne comprenait toujours pas se qui pouvait bien se passer en elle. Elle devait lui expliquer correctement.

-Papa, je l'aime, ce n'est pas un animal, il a des sentiments et il m'aime aussi. Je suis heureuse d'être avec lui. Et il n'y a pas d'âge pour tomber amoureuse et d'ailleur, je ne suis pas une gamine, j'ai 13 ans et j'ai déjà vécu plus de problème que la plus part des adultes. Et je suis toujours là. D'ailleurs tu n'aurais même pas eut d'héritier si j'était morte il y a deux ans...
Misa n'aimait cette argument mais elle voulait bien faire comprendre a son père qu'elle aimait passionnémement Maïko. Il la prit dans ses bras avec un aire triste et ajouta.

-Chérie, ne dit pas de chose comme ça. Les nékos sont fait pour être les serviteurs des humains. Tu ne changeras pas le monde avec de simple sentiment aussi sincère soit-il. Alors j'ai prit ma déssision... Maïko va garder sa puce sur lui et si il s'approche trop près de toi, il se prendra un coup de jus.

Misa repoussa rapidement son père a ses paroles.

-Tu n'as douc rien comprit ! Tu t'en fiche de mon bonheur du moment que je reste une gentille fille bien sage et obéisante ! Moi j'en est marre !

Misa se releva rapidement et sortit de sa chambre en courant. Elle descendit les escaliers et se retrouva dehors. Elle était en pleure et elle se jeta dans les bras rassurant de son néko. Elle le serra fort et elle ne voulait plus jamais le quitter.

Misa ne c'était pas rendut compte de son geste, en lui fessant un calin, Maïko resevait des coup d'électrique. Il la lacha d'un coup sa maitresse et demanda a ses parents pourquoi ils leurs faisaient subire sa. Il fit comprendre alors a Misa qu'il ne pouvait plus rien faire pour rester tout les deux. Misa pleura encore quand il fit par s'évanouir sur le sol. Elle n'osait plus le toucher de peur d'agraver la situation. Elle se retourna alors vers ses parents et elle avait un regard haineux.

-Je vous détesste! J'aurais préférer mourire sur une table d'opération! Vous avez détruit mon rayon de soleil!

Elle était tellement en colère que son coeur aurait put sortir de sa poitrine. Soudain sans plus réfléchir, la jeune fille partit en courant. Elle ne pouvait plus rien faire pour sauver son amour. Elle était condamner a vivre sa triste vie. Alors elle courut et courut aussi vite que possible. Ses poumons et son coeur allaient s'arracher puis elle fit par s'arréter de courire. Elle était assez loin de la maison et proche de la ville. Elle se laissa tomber par terre, a bout de force. Encore une fois, elle sentait la mort près d'elle mais encore une fois, elle la laisserait en vie avec sa douleur. Le temps n'avait plus vraiment d'interet pour elle, elle ne sentait plus rien. N'y le vent sur son visage, n'y le soleil sur sa peau. Elle ressentait surtout sa douleur fulgurente dans sa poitrine balafrer.

Maïko se réveilla dans l'infirmerie , allonger sur la table ou s'allonger tout les jours Misa , le docteur n'était pas la seule le père , la mère et la gouvernante était la maïko se mit assis sur la table et ne dis rien , il ne se souvenait de presque rien a part sa maîtresse son amour pour elle et quelques choses qu'il avait appris ici comme les bonnes manières , tout d'un coup les parents et la gouvernante de misa commencèrent à lancer des reproches voir des injures , il entendit précisément une phrase sortant de la bouche du père de Misa :

- Tu fais fuir ma petite fille chérie et après tu voudrais que je te laisse l'aimer , plutôt couler mon entreprise que sa .

Après ses mots il descendit de la table ouvrit la porte descendit les escalier et arriva au pas de la porte , la ou il c'était évanouit et ou sa maîtresse était partit , il tomba par terre et commença a pleurer il ne savait plus trop pourquoi pourtant un flashback lui survenu c'était à cause de son père , mais il ne voulait rien faire il se posa alors sur les marche de la porte d'entrée et attendit ...

Misa était preque allonger sur le sol maintenant, écraser sous sa douleur. Chaque battement de coeur était horrible, brûlant et en même temps si froid. Elle éspérait a chaque respiration que se soit la dernière. Que tout ce si ce termine. Misa se trouvait sur un petit chemin de champs pas loin de la ville. Elle n'avait jamais courut aussi vite et loin de sa vie car ça pouvait être mortelle. Soudain, ne pouvant plus luter contre rien, la jeune demoiselle s'allongea sur le sol. Elle regardait le ciel bleu avec ses nuages de mouton blanc qui passait. Elle aurait presque put toucher les nuages et la voute céleste. Mais elle n'avait même plus la force de lever le bras en l'aire. Puis comme emporter par sa fatigue, Misa ferma ses beaux yeux violette claire et elle laissa échapper son ésprit loin de son corps qui brûlait.

Misa rêvait, elle se trouvait dans une magnifique prairie avec plein de fleur et de couleur. L'odeur même était plaisente. Elle avait une robe blanche légère et volatile. Ses cheveux long était détacher et le soleil chaud venait se refléter sur sa peau blanche. Elle avait un sourire au lèvre. Elle s'embalait heureuse et plus malade. Soudain elle apperçut non loin d'elle, Maïko. Il était aussi là, dans son doux rêve. Il avait un sourire que Misa aimait t'en. Il s'emblait bien. Puis l'image devient flou, le soleil se masqua et des hommes vêtuts de noirs vienre ensercler la demoiselle. Elle ne voyait plus son néko, elle commença a paniquer. Les hommes la prire et il voulait l'emmener loin, ailleurs. Puis dans un jeste malheureux, Misa tenta de retrouver le visage doux de son néko. Mais tout se qu'elle trouva fut un néko lui tourner le dos et partir. Se fut alors comme un coup de poignard dans le coeur de la jeune fille. Elle l'appalla, et l'appella encore pour qu'il revienne vers elle, mais il était bien entrain de l'abandonner...

Se fut a ce moment que Misa rouvrit les yeux. Elle était seule, sur ce petit chemin. Son rêve l'habitait encore un peu et sa douleur c'était appaiser. Elle réalisa soudain que c'était elle qui avait tourner le dos a son néko. C'était elle qui était partit dans rien lui dire pendant qu'il était inconsient. Misa tenta de se relever mais ses jambes ne lui obéissait plus, la jeune fille ne pouvait plus marcher.

** Mon Dieu, mais qu'est ce que j'ai fais ? Pourquoi me punissez-vous autant ? J'ai toujours été une gentille fille, alors pourquoi me faire autant de mal ? **

Elle était entrain de se poser mille et une question qui n'avaient ni queux ni tête. Puis se fut elle alors qu'elle se ralongea encore une fois et sa dernière penser fut pour Maïko.

Misa était comme dans un état segond, la pauvre enfant divageait totalement désormais. Elle s'égardait hors de la penser et du temps. Plus rien n'avait de sens pour elle. Dans sa tête, elle revoyait le visage bien veillant de Maïko. Avec un léger sourir craquant. Elle se souveint de la première fois qu'elle l'avait vue, elle avait alors présentie que ce serait lui, lui qui pourait dégivrer son coeur et personne d'autre. Sans même s'en rendre compte, la jeune fille avait instinctivement lier sa vie a celle du néko. Elle s'était beaucoup plus attacher a lui qu'a quelqu'un d'autre dans sa vie. Elle lui avait ouvert son coeur comme une rose au matin qui ouvre ses pétales encore humide d'une dure nuit. Elle revoyait également leur première jour passer ensemble et la fameuse nuit qui les avaient fait t'en souffrir. La peur qu'elle avait alors ressentit sur l'instant, maintenant elle la trouvait bien bête et enfantine. Puis elle se rappella également le matin de cette dure nuit. La douleur qu'elle avait alors ressentit, elle la compara a maintenant et elle ne vallait pas grand chose enfette. Puis elle se rappella de l'arriver de ses parents et de tout ce qui en suivit malheureusement. Elle se rappella pourquoi elle se trouvait là, inconsciente sur se chemin de champs. Misa sentait toujours cette aurra de mort voller a coter d'elle. Peut-être aujourd'hui ce serait la bonne. Peut-être aujourd'hui serait-elle délivrer de son coprs malade. Misa n'aurait alors qu'un seule regret. Ne pas avoir dit une dernière fois a MaIko qu'elle l'aimait.

Misa se perdait de plus en plus dans les méandres de l'inconssience. Elle sentait sa douleur de moins en moins puis soudain, elle sentit une compression contre son coeur. On était entrain de la réanimer. Elle aurait aimer pouvoir parler et leur dire. "Non, laissez moi partir. " Mais ce fut inévitable, elle sentit son coeur rebattre en elle avec cette même douleur qu'elle avait put ignorer dansson inconssience. Elle rouvrit les yeux et sentit après qu'on lui faisait un baiser langoureux. Elle se sentit beaucoup mieux quand elle s'aperçut que c'était Maïko qui était près d'elle et qui l'avait réanimer efficassement. Il lui disa quelques mots après et le cerveau de Misa mit un peu de temps pour bien comprendre se qu'il lui disait. Elle remarqua que la nuit était tomber. Elle devait avoir passer beaucoup de temps inconssiente. Elle était dans les bras de Maïko et elle parla doucement en le regardant dans les yeux.

-Merci d'être venu Maïko... Je t'aime tellement... Mais ne me touche pas, tu vas avoir mal... Ta puce... Elle va te faire mal...

Elle remarqua a la fin de sa phrase que rien ne se passait. Maïko ne se tordait pas de douleur. C'était assez étrange et la jeune fille avait dut mal a comprendre. Sa douleur dans sa poitrine était toujours présente et de moins en moins supportable. Elle allait pas tarder a torner de l'oeil a nouveau. Elle dit alors avec des larmes aux yeux.

-Je ne peux plus marcher... J'ai peur... Je ne veux pas mourire maintenant... Je veux rentrez chez moi...

Misa se mit a pleurer et Maïko devrait la porter pour rentrer au plus vite pour qu'elle se face examiner par son médecin.

Maïko prit la jeune fille dans ses bras et il se mit a courir jusqu'a chez eux. Misa était encore un peu consciente quadn ils arrivèrent a la maison. Elle aurait t'en aimer s'excuser aux près de ses parents pour leur avoir fait peur moi elle ne pouvait plus parler désormais. Maïko ma monta a l'étage dans l'infirmerie et il l'installa sur sa table d'oscultation. Il lui retira ses vêtements puis il lui demanda a l'oreille de ne pas mourire. Encore une fois Misa aurrait bien aimer parler pour le rassurer mais aucun son ne pouvait sortir de sa gorge. Si Maïko ne l'avait pas retrouver a temps, elle serait surement morte a l'heur qu'il est. Le médecin procéda ensuite a toute une series d'examens complexe. Il n'eut pas d'autre choix que de poser un masque a oxygène sur la bouche et le nez de Misa pour qu'elle respire mieux. Il lui mit également une intravaineuse pour lui administrer des médicaments. Il posa aussi des patches pour contrôler son rytme cardiaque qui n'était pas très élever. Au bout d'un long moment Misa était stabiliser. La jeune fille c'était endormit mais elle ne craignait plus rien. Elle allait rester sous observation cette nuit. Cette nouvelle crise avait bien faillit la tuer pour une fois mais ce n'était pas encore son heur. La nuit être long pour certaine personne.

Maïko s'endormit sur une chaise les bras poser sur misa , il voulait vraiment qu'elle s'en sorte , cette nuit la il fit un rêve , un rêve ou un cauchemar il ne sais pas très bien , dans ce rêve il voyait misa plus âgée , belle et souriante il ne voyait même plus la maladie en elle , dans ce rêve il s'approcher de Misa et se posa à côté d'elle sur une belle nappe où se trouvait un panier de pique nique , dans ce rêve Misa l'embrassa longuement et tendrement de son plein grès et surtout d'elle même , dans ce rêve il y avait une part de ténèbres finalement ce rêve c'est transformer en cauchemar , des hommes en noirs le prirent et l'emmenèrent loin de sa maîtresse , le rêve ou le cauchemar était fini continuant à dormir il pleura , quelques goutes atterirent sur le drap de l'infirmerie ....

Misa passa encore une nuit sans rêve. Mais elle sentait que son état allait beaucoup mieu mais elle ne voulait pas encore ouvrir les yeux et rester dans l'inconscience. Elle ne voulait pas vraiment retrouver sa réaliter qui l'attendait de piers ferme. Elle s'avait très bien que ses problèmes n'étaient pas terminer. Elle n'avait réussit a rien la veille. Ni a convincre sa mère ni son père et la gouvernante qui n'avait rein arranger du tout. Misa craignait qua son réveille la situation était toujours aussi délicate. Mais elle se promit de ne plus fuire et de se battre. Puis le matin fut déjà là. La jeune fille ouvrit les yeux. Elle avait un masque d'oxygène sur son visage et elle le retira d'une main frêle. Il lui fallut un moment pour ce rendre compte d'où elle était. Elle apperçut une aiguille planter dans sa main et fit une légère grimace. Puis elle vit Maïko endormit a coter d'elle. Elle passa sa main frêle dans ses cheveux pour le réveiller en douceur. Il avait sa tête poser sur son ventre. Et s'apperçut qu'il avait pleurer. Cela l'attrista un peu. Elle lui carressa les oreilles doucement toujours. Il finit par ouvrir les yeux et la regarder. Misa avec le taint blanch mais c'était moins pire que la veille. Alors elle ajouta de sa voix si douce et enfantine.

-Je suis contente que tu sois là. Merci de m'avoir sauver la vie hier, si tu ne m'avais pas retrouver je serais surement morte. Je ne voulait pas partir maintenant sans avoir put te dire combient je t'aimais. Merci vraiment, c'est grâce a toi que je vie aujourd'hui.

La jeune fille de sa main frêle prit le menton de son néko et elle déposa délicatement ses lèvres sur les siennes.

Misa venait à peine de se réveiller que la réalité la rattrapa de plein fouet malheureusement quand Maïko écourta le baiser. Elle ne savait pas comment convaincre ses parents et l’angoisse la regagna aussitôt mais ce fut vite dissiper par un nouveau baiser tendre et passionner de la par de Maïko. Elle jeune fille se sentit tout de suite mieux mais se fut alors que sa mère ouvrit la porte. Misa se mit à rougir et enfantinement elle se cacha sous les draps. Puis elle entendit ses parents s’excuser. Elle sortit la tête de sous la couette et regarda ses parents presque surprise de ce petit retournement de situation. Les parents avaient donc tout accepté maintenant ? Mais non ce fut trop beau pour être vrai. Son père commença déjà à repartir sur le sujet. Il n’avait donc pas changé de position. Sa fille avait failli mourir et il n’acceptait toujours rien ! Les capteurs de tension que Misa avait sur sa poitrine se mirent à faire des siennes. Son rythme cardiaque s’emballait. La jeune fille respira tranquillement et sa mère vient déposer un baiser sur son front. Misa était fatiguer que ses parents contrôle sa vie et elle était bien décider à régler se problème.

-Mère, père vous ne pouvez plus désormais faire comme si j’étais encore une enfant. J’ai grandit ! Mais malheureusement vous n’étiez pas là pour voir ça. Je suis devenu une jeune femme qui a besoin d’aimer et de l’être en retour. Certes vous me donner beaucoup d’amour quand vous êtes là, mais ce n’est pas ce genre là donc j’ai besoin en ce moment. J’ai trouvé mon bonheur avec Maïko, une joie si intense que je n’ai jamais connue avant. Avec tout ce que j’ai traversé dans ma vie je pense largement mériter se bonheur que vous voulez me retirer aujourd’hui. Ne voulez vous donc pas que votre fille soit heureuse tout simplement ?

Misa finissait par se taire quand elle vit sa mère pleurer. La jeune demoiselle était sur maintenant d’avoir convaincu ses parents. Elle avait gagné cette bataille et le père n’eut rien d’autre a ajouter que.

-Bien sur que nous voulons ton bonheur ma chérie mais tu pourrais trouver tellement mieux… Vraiment je ne comprends pas. Tu as un bel avenir devant toi et tu le gâche ainsi. Mais bon, il me semble que tu as raison. Le plus important pour le moment c’est que tu sois bine, en bonne santé et entourer de personne qui t’aimes.

Il lui décrocha un sourire. Maintenant c’était sur, il ne s’interposerait plus entre elle et Maïko.

Misa passa sa main dans les cheveux de son néko qui avait poser sa tête contre son ventre. Elle voyait a peu près où ses parents voulaient en venir quand ils disaient "bêtise de la part de ton néko". Mais déjà la jeune fille était soulager d'un gros poid.

-D'ailleurs j'ai une objection pour ce qui concerne la gouvernante. Elle n'aime pas Maïko et elle cherche toujours a lui faire du mal. Je demande son renvoit si elle ne se calme pas.

La gouvernante qui était également dans la pièce faillie s'étouffer quand la jeune Misa parla. Elle voulut d'ailleurs objecter de suite mais la mère de misa la coupa.

-Chérie, il faut bien qu'il y est une personne de confiance qui veille sur toi pendant notre abscence. Alors désoler mais nous ne la renvérons pas. Nous allons simplement avoir une conversation avec elle et nous en enrons une aussi toi dès que tu iras mieux.

A ce moment le médecin entra dans l'infirmerie. Il demanda a tout le monde de sortir et tout le monde sortit. Il examina une dernière fois Misa et lui affirma que tout allait bien. La jeune fille se rhabilla et sortit de la salle.

Misa sortit de la pièce le neko et Misa se dirigèrent vers la chambre de cette dernière , le neko ouvrit sa porte , Misa se dirigea rapidement vers son lit et s'allongea elle fit signe au neko de venir sur le lit s'allonger à côté d'elle , Maïko ne se fit pas prier et se dirigea rapidement vers la place libre du lit de sa maîtresse il lui souffla quelques mots à l'oreille :

- Je vous aime très fort maîtresse , vous êtes tout pour moi bien plus qu'une maîtresse .

Le neko s'allongea avec une jambe au dessus de celles de sa maîtresse , il avait très envi de lui faire un baiser et l'embrassa langoureusement de longues secondes , ils ne c'étaient jamais embrasser comme sa avant , c'était de l'amour pur qui remplacer presque la salive , ils s'aiment tellement que sa pouvait presque ce sentir dans la pièce ou ils se trouvaient , il décrocha ses lèvres et lui dit :

- Je ne serais pas un simple rayon maintenant si vous le voulez je pourrai remplacer le soleil dans votre cœur .

Sous ses mots il décrocha un autre baiser a sa maîtresse ...

Misa sortit de l'infirmerie et monta dans sa chambre avec Maïko qui la suivait. Ses parents devraient surement parler a la gouvernante et elle avait encore besoin de se reposer. Quand Maïko ouvrit la porte elle alle s'allonger sur son lit et invita son néko a venir la rejoindre. Elle vient près d'elle et l'embrassa passionnément. Ses baisers avaient t'en manquer a Misa. Elle avait l'impression que sa fesait une éterniter qu'elle n'en avait pas eut. Maïko enlaça son petit corps. Elle se sentiat si bien désormais, c'était comme si elle venait de sortir d'un long cauchemard. Puis il lui murmura des mots a l'oreille. Le coeur de la jeune fille s'envola pour prendre son envoler sous les délicieuses paroles de Maïko. Elle lui retourna son baiser et ajouta ensuite.

-Je serais très heureuse en effet que tu me réchauffe le coeur. Mais s'il te plait apelle moi Misa simplement plus de maitresse car tu est plus que mon néko a mes yeux.

La jeune fille avait désormais un sourire sur ses douces lèvres. Elle posa sa tête contre le torce de Maïko pour lui faire un gros calin puis dans un grin de follie elle le retourna sur le dos et se mit a califourchon sur lui. Cette nouvelle crise qui avait bien faillie la tuer lui avait permit de comprendre une chose. Elle devait profiter de son bonheur et de sa vie.