Enfin arrivée chez nous! [PV: Maïko][Terminer]

Misa était bien dans les bras de son néko puis il avoua qu’il ressentait plus que de l’amitié pour elle. La jeune fille avait peur de tirer des conclusions trop vite mais son cœur le désirait ardemment. Puis Maïko lui fit un baiser sur la joue et la serra encore plus dans ses bras. Elle se sentait tellement bien ainsi. Comme protéger de tout mais ce moment ne dura pas malheureusement. La gouvernante ouvrit un peu la porte de sa chambre, puis l’ouvrit en grand. Elle s’emblait furieuse et elle fit sursauter Misa. La nurse reprit le collier de Maïko et sa laisse et l’attacha. Elle l’emmena à la cave avant même que Miss Kando est le temps de dire ouf. Misa commença à descendre les escaliers et elle entendait son néko l’appeler a l’aide. Malheureusement elle ne pouvait pas aller bien vite. Elle trouva la gouvernante qui remontait de la cave et Misa était en colère.

-Madame vous allez le laisser sortir immédiatement ! Vous n’avez aucun droit sur lui dans cette maison ! C’est… c’est moi… qui dit… les règles.

Misa avait dut mal a parler maintenant, elle sentit son souffle se faire plus douloureux et la nurse avance vers elle avec un air inquiet. Misa n’était pas bien et elle tomba au sol. La gouvernante était paniquer et ne savait plus quoi faire pour aider la pauvre petite Misa. Les autres domestiques étaient tousse venu voir et Misa dit alors dans un murmure. « Je… veux mon… néko… Maïko… » Ce fut alors que le major d’homme s’énerva contre la gouvernante et lui prit la clé. Il descendit à la cave et ouvrit a Maïko. Misa se trouvais au rez-de-chaussée, allonger par terre, le médecin n’allait plus tarder. La jeune fille avait du mal à respirer.

Misa avait entendu sa gouvernante se faire taper sur les doigts. Mais dans l’état ou elle était, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Puis elle sentit alors Maïko revenir vers elle. Il la prit dans ses bras et Misa malgré sa douleur se sentait coupable envers lui. Elle devait lui faire du mal a la voire ainsi. La jeune fille tenta de reprendre sa respiration normale mais elle avait beaucoup de mal. Puis elle sentit que son néko la portait. Le médecin était donc arrivé maintenant. Ils allèrent à l’infirmerie elle Maïko l’allongea sur la table d’examen. Le médecin prenait la tension de Misa qui était basse désormais. Elle sentit que son néko avait prit son autre main. La respiration de Misa était toujours difficile. Le médecin lui donna un inhalateur et elle respira dedans. Il fallait un moment avant que tout redevienne normal. Mais au bous de quelques minutes, tous aller mieux. Misa avait retrouvé des couleurs et sa respiration était plus facile. Elle se redressa et tenta de se remettre sur ses jambes. Elle n’avait pas la tête qui tourne ni rien alors c’était bon ! Le médecin lui conseilla d’aller manger quelques choses et Misa et Maïko sortirent de l’infirmerie et allèrent a la salle à manger. Ils s’installèrent a table et la gouvernante était présente. Elle s’approcha et s’inclina.

-Veuillez me pardonner Miss Kando. J’ai autre passer mes droits. Pardonner moi.

Misa hocha de la tête en signe d’acceptation et les plats furent servie. Ce n’était pas encore très bon mais elle était habituer désormais. A la fin du repas, Misa ne pensait qu’a une chose, aller ce coucher.

A la fin du repas, Misa fatiguer, ne dit rien quand Maïko la prit sur son dos et monta les escaliers jusqu'à sa chambre. Ils montèrent quelques marches puis le néko se retourna et dit à sa maitresse qu’il était amoureux d’elle. Misa ne savait trop comment réagir désormais. Elle n’avait encore connu que l’amour parental, celui d’une famille. Puis soudain, Maïko l’embrassa sur la bouche. La jeune fille ouvrit les yeux de stupeur et la fatigue disparut aussitôt. C’était son premiers baiser et sa ne ressemblait a rien de se qu’elle avait connu avant. Puis Maïko remit sa maitresse sur son dos et il alla la coucher gentiment. Quand elle fut au lit, il vient s’allonger près d’elle et lui redit encore une fois qu’il l’aimait et il lui prit la main. Misa était dérouter et pétrifier dans son lit. Plein de chose, de sensation tournaient en elle. Elle sentait son cœur qui allait comme exploser de joie et de bonheur mais la jeune fille n’avait encore jamais aimé quelqu’un de cette manière et ne savait pas vraiment quoi faire. Elle serra encore un peu plus la main de son néko qui était près d’elle et elle roula sur le coter pour lui tomber dans les bras. Certaine questions quand la tête de Misa restaient encore pourtant sans réponse. Tout en fessant un câlin à Maïko, la jeune fille lui dit.

-Maïko, je ne sais rien de toi et de ton passer. Tu avais de gentil maitre avant ? Tu les aimais ? Si sa ce trouve m’aimes comme tu aimais ton ancienne maitresse et rien de plus…

Misa était attrister par cette possibilité. Mais elle cacha son visage dans le torse de son néko pour ne pas qu’y la vois. Elle attendait des réponses maintenant pour être fixer.

Misa écoutait se que son néko lui répondait. Il n’avait pas vraiment eut de chance avant de la rencontrer. Elle avait toujours son regard triste puis il lui releva la tête pour lui redonner un baiser avant de continuer à parler. Il disait qu’il ne fallait pas qu’elle doute de son amour et elle se décida à suivre son conseil. Il l’aimait, elle ne douterait jamais de cela… Il lui redonna un autre baiser encore, puis il lui demanda après.

-Maîtresse avait vous eu d'autres nékos, d'autres amoureux ou bien d'autres personnes qui vous ont dit qu’ils vous aimaient ?

Misa réfléchit un instant puis répondit dans un murmure pour ne pas briser la magie qui venait de s’installer dans cette chambre de petite fille.

-Mes parents mon souvent dit qu’ils m’aimaient. Les domestiques disent que je suis un ange mais sinon avec tout ce qui met arriver, je n’ai pas vraiment eut l’occasion de me faire d’ami… Mais quand j’étais petite, avant d’être malade, j’habitais en Angleterre et à coter de chez moi vivait un petit garçon très gentil. Je me suis souvent amuser avec lui mais mon enfance heureuse n’a pas duré très longtemps… Je suis contente que tu sois près de moi maintenant. Tu es mon premiers néko et je voudrais te garder pour toujours près de moi. Ma vie sera sans doute plus simple désormais. Je t’aime tellement…

Misa se colla encore plus a lui dans la mesure du possible ou elle était déjà dans ses bras. Elle aimait cette nouvelle sensation qui l’avait remplit. Elle se sentait si bien, comme si tout les malheurs de sa vie avait disparut. Maïko les avait chasser… La jeune fille apprenait seulement maintenant l’amour.

Misa entendit les dernière paroles de son néko avant de sombrer dans un sommeil profond. Sa journée avait été plutôt chargé aujourd’hui et du repos lui ferras du bien, surtout maintenant qu’elle s’avait qu’elle n’était plus seule et que Maïko veillait sur elle tendrement. Comme d’habitude, cette nuit fut sans rêve et calme. Quand le matin arriva et que les premiers rayons de soleil la réveillèrent en douceur, il devait être 7 heurs. Misa n’était plus fatiguer et se sentait en forme ce matin là. Elle se redressa un peu dans son lit. Elle avait la queux de Maïko sur elle et lui dormait encore près d’elle. Misa n’avait jamais touché la queux ou les oreilles d’un néko, elle trouvait cela mal polit mais en cet instant elle avait bine envie de tenter l’expérience. Elle tendit sa main mais la reprit au dernier moment. Elle préféra se pencher vers Maïko. Elle le regarda un moment. Il dormait toujours paisiblement. Elle n’osait pas vraiment le déranger. Elle sentait une chose étrange au fin fond de ses entrailles. Une chaleur nouvelle qui l’avait prise. Elle en était un peu effrayer mais en même temps tellement contente. Elle se pencha et posa un baiser sur les lèvres du néko pour le réveiller en douceur. Il ouvrit les yeux et Misa devint toute rouge a cet instant. Elle sauta hors du lit et alla dans sa salle de bain. Dedans elle respira tranquillement. Elle retira ses vêtements et prit sa douche. Elle ressortit avec son peignoir rose pour seule vêtement. Elle fouilla son armoire et en trouva et retourna dans sa salle d’eau. Elle s’habilla sobrement d’une robe écossaise grise puis elle se sécha les cheveux. Quand elle ressortit pour de bon de la salle de bain, elle se mit a sa coiffeuse et se coiffa et maquilla discrètement. Après, elle était prête a descendre prendre son petit déjeuner.

Une fois prête, Misa attendait que son néko soit prêt aussi. Il ne mit pas longtemps dans la salle de bain et en sortant, il lui fit un bisou sur la joue, suivit après d’un baiser tendre. La jeune fille était encore confuse. Elle n’avait pas l’habitude à donner t’en d’amour et à faire t’en de baiser. Mais chacun des bisous de Maïko avait le don de faire s’envoler son cœur de jeune fille. Puis il était t’en d’aller prendre le petit déjeuner. Misa mourait de faim mais elle s’avait déjà ce qui l’attendait et elle n’aimait pas cela. Maïko demanda se que voulait faire Misa aujourd’hui. Il fallait attendre la visite médicale matinale pour s’avoir si elle pourrait sortir aujourd’hui. Sinon il retournerait se balader sur la plage. Puis le néko se remit sur ses genoux pour être bine en face de sa petite maitresse et il lui fit un câlin et il lui murmura des mots a l’oreille. Misa eut un sourire. C’était vrai que la gouvernante ne l’aimait pas. Mais Miss Kando avait bien prévu de lui parler seule a seule aujourd’hui pour mettre les choses au claire.

-Ne t’inquiet pas pour la gouvernante mais il vaudrait mieux tout de même ne pas s’embrasser devant elle. Elle pourrait tout aller répéter à mes parents et ils ne voudront plus que tu restes ici et je ne veux pas te quitter. Je t’aime Maïko.

La jeune fille posa une dernière fois ses lèvres sur celle de son néko chéri et elle fit un sourire avant de sortirent de a chambre pour aller prendre le petit déjeuner dans a salle à manger, toujours avec son néko.

Pendant le petit déjeuner, Misa voyait bien que la gouvernante avait les nerfs mais qu’elle ne disait rein cette fois. Le petit déjeuner était le même qua d’habitude, sans goût et sans plaisir… Quand elle eut tout manger, Maïko vint s’assoir près d’elle et il lui demanda tout bas, s’il pouvait assister à la visite médicale. Misa eut un sourire. Elle était contente qu’il ne veuille plus la quitter même un cours instant. Il lui rendit son sourire. Le courant passait bien entre eux, ils étaient comme inséparable maintenant. Misa vit le médecin attendre sur le pas de la porte. Elle prit la main de son néko dans la sienne et ils montèrent tousse dans l’infirmerie. La gouvernante les suivait mais ne disait toujours rien. Quand ils entrèrent dans la pièce d’examen, le médecin demanda a Misa de se déshabiller comme d’habitude. La nurse et le néko se trouvait dans un coin de la pièce et la jeune fille retira ses vêtements pour se retrouver en sous-vêtements. Elle s’allongea sur la table et le docteur écouta son cœur et prit sa tension pour finir la faire se relever et souffler dans un truc en plastique. Il nota les résulta dans un carnet pendant que Misa se rhabillait. Puis il dit que tout était bon pour aujourd’hui, que la petite crise de Misa d’hier était passé. La jeune demoiselle eut un sourire et fit de boutonner sa robe. La nurse sortit prévenir les parents de Misa comme d’habitude et elle sortit aussi avec son néko, toute joyeuse, elle dit.

-On va pouvoir sortirent cette après-midi ! Je suis contente ! Mais ce matin j’ai cours de maths et d’art… je ne veux pas y aller…

Misa avait tendance ses derniers temps à faire beaucoup trop de caprice. Mais il ne fallait pas céder a tous.

Maïko entraina Misa en salle de cours bien qu'elle n'avait pas du tout envie de si rendre. Elle s'installa a sa table comme d'habitude et son néko a coter d'elle mais bien sur la gouvernante ne voulait pas les voires enssemble donc elle accrocha Maïko avec sa laisse au radiateur. Misa jetait des regards méprisant a la nurse mais elle ne pouvait rien dire en salle de classe. L'heur passa assez vite et la récréation était venu. Misa détacha son néko de sa laisse et ils allèrent prendre l'aire dehors. La matinée était bonne et le léger vent agréable sur la peau de la jeune fille. La salle d'art se trouvait juste a coter de la salle de musique et son professeur n'était pas encore arriver. Misa alla s'installer sur le petit banc et invita son néko a la suivre. La jeune fille semblait désepérer maintenant.

-J'en est assez de tous ça... J'en est assez d'avoir une petite vie bien ranger sans interet. Parfois je me dit que j'aurais mieux fait d'accepter la mort quand elle se présentait a moi, mais aussi je ne t'aurais aps rencontrer. Tu es mon seul rayon de soleil dans cette triste vie. J'ai l'impression de n'être qu'un pantin dirriger par les adultes...

Misa n'arrivait pas a effacer se regard triste de ses prunelles. Mais soudain elle se releva et prise de colère elle se mit a courire aussi vite qu'elle put. Son coeur se mit a battre plus fort et lui faire mal...

Misa courait comme une folle, ce qui était très déconseiller pour elle. Mais la colère qu’elle avait en elle, elle ne savait pas comment l’extérioriser. Elle se sentait tellement triste et énerver a la fois. Ce mélange n’était pas bon et les larmes de la jeune allaient bientôt couler à cause de la douleur de son cœur et ses poumons aussi. Mais son néko la rattrapa et tenta de la calmer. Misa était dans un telle état, elle avait la sensation que son cœur allait lui sortir de la bouche et ses poumons fondre sous ses brûlures. De plus Maïko posa ses lèvres sur celle de Misa. La jeune fille était dérouter et dans un geste malheureux, elle gifla son néko. C’était partit tout seule et elle ne s’avait pas très bien se qui lui avait prit. Ca eut pour effet de lui remettre les idées en place. Elle venait de lever la main sur la personne qu’elle aimait le plus au monde, celui qui était gentil et présent pour elle. Une vague de culpabilité l’envahit alors rapidement. Mais qu’est ce qu’elle avait fait ? Mais Maïko lui fit un câlin quand même et tenta toujours de la consoler. Se fut a ce moment que Misa ne put retenir encore plus longtemps ses larmes. Elles glissèrent sur ses joues rosies et elle serra encore plus fort contre elle. En disant entre deux sanglots.

-Je suis désolé de t’avoir giflé… Je ne voulais pas… C’est sortit tout seul… Pardon…

Ce fut a ce moment que le professeur d’art de Misa arriva au manoir. Il était l’heur d’y aller et la jeune fille sécha ses larmes. Elle prit la main de Maïko et ils allèrent en cour. La salle était grande et en bazarde. Le professeur avait de grande moustache mais il était très gentil avec Miss Kando. C’était son prof préférer. Elle s’installa au chevalet et elle prépara ses pinceaux et ses couleurs.

Misa avait peint pendant une heure. Son maitre d’art lui avait apprit à ne jamais montrer une peinture pas fini. Alors elle sortit de la salle avec un sourire nouveau sur le visage. Sa ne dura pas longtemps malheureusement car la gouvernante l’attendait d’un pied ferme devant la salle à manger. Elle lui annonça qu’elle était punie et que la nurse avait tous cafté à ses parents en plus. Misa ne pouvait donc pas avoir de secret dans cette maison et encore moins de liberté. Ca triste vie monotone revint alors au galop. Elle perdit son sourire et retrouva son visage mélancolique. Ca allait donc toujours se passer ainsi… ? Puis Misa et son néko passèrent a table. Déjà elle n’était pas priver de lui, ce qui était une bonne chose mais bon… Le repas une fois servis, Misa n’y toucha presque pas. Elle n’avait pas très faim et avait plutôt une boulle dans le ventre. Le domestique lui retira son assiette à la fin. Puis elle se leva de table et alla dans sa chambre avec son néko. Elle claqua la porte de sa chambre au nez de la gouvernante mais elle s’en fichait d’être mal polie. Elle était partager entre de l’énervement, de la tristesse et de la colère… Elle alla s’allonger sur son lit et se mit en boulle comme pour ce protéger de tout se qui lui tombait sur le dos en ce moment. Elle retenait encore ses larmes en fermant ses yeux.

Misa était toujours replier sur son lit quand elle sentit les mains de Maïko se poser sur ses hanches et la soulever pour la mettre entre ses jambes. Il la prit dans ses bras et tante toujours de la réconforter. Puis sans crier gare, il l’embrasse langoureusement. Misa n’avait encore jamais fait de vrai baiser et sa réaction première était la surprise puis après le plaisir. Son cœur lui martelait toujours les cotes maintenant. Puis il reprit la parole et avoua encore de nouvelle chose sur son passer. Au fur et a mesure de ses dire, le visage de Misa se décomposait. Son cerveau devenait comme engourdit a force de réfléchir à toute vitesse. Puis il se tue. C’était à elle de dire quelque chose mais elle ne voyait pas quoi répondre à ça. Alors elle se lança tout de même, sachant que sa lui ferais aussi mal que de se taire.

-Alors tu as eut une autre maitresse que tu as embrassé aussi… Donc je ne suis pas la première à qui tu offre ton cœur… Je ne suis pas la première à qui tu dis ses mots, fais ses choses…

Misa avait encore envie de pleurer mais elle devait se montrer forte. Puis une phrase que Maïko lui avait dit lui renvient alors en tête « Ne doute jamais de mon amour pour toi… » Elle devait lui faire confiance et elle le désirait. Si elle se mettait a douter, elle allait en souffrir atrocement. Elle planta son regard dans celui de son néko et ajouta sérieusement.

-Je t’aime de façon inconditionnelle et je ne veux pas te perdre.

Elle lui fit un sourire et un baiser tendre.

Puis Misa écouta encore Maïko parler de son ancienne maitresse qui franchement ne méritait pas un néko aussi gentil que lui. Misa avait même un peu de colère envers cette dame odieuse. Puis s’en suivit une chaine de vrai et magnifique baiser. Misa n’était pas encore habituer mais sa viendrait vite. Enfin, Maïko lécha le cou de sa maitresse, se qui la surprit mais la fit sourire aussi, avant d’ajouter des phrases qui fit éclater le cœur de Misa. Il lui demandait encore une fois de lui faire confiance et de l’aimer, rien que lui… elle était toute disposer a céder au désir du néko car c’était également ce qu’elle désirait au fond de son cœur. Elle lui prit le visage dans ses petites mains frêles et elle le fixait bien au fond de ses prunelles avant de dire mélodieusement.

-Tu es le seul dans mon cœur également. N’en doute pas aussi…

Puis elle rapprocha son visage de celui de Maïko et l’embrasse pour de vrai. Quand elle arrêta le baiser, elle se laissa tomber en arrière pour mettre sa tête sur son oreiller et se reposer un peu. Elle attira son néko vers elle et lui fit un câlin bien mérité.

-Je pense maintenant que ma vie seras plus légère, t’en que tu resteras près de moi, il ne pourra rein m’arriver et il ne t’arrivera rien non plus. Ce soir j’irais discuter avec ma gouvernante et je mettrais les choses au claire. Mais je t’en prit, même si parfois j’ai des faiblesses de pauvre petite fille malade, soit fort pour moi, ne soit pas triste. Et si un jour je venais a mourir… Je veux que tu puise sourire encore a nouveau après. Ne me pleur pas. Je voudrais que tu m’en face la promesse Maïko. Vie encore même si je meurs…

Pour Misa cette promesse était importante mais si elle s’avait le sacrifice qu’il fallait faire pour cela.